Salut, voila un nouveau chapitre j'espère qu'il vous plaira . N'oubliez pas de commente et de voter !
Bonne lecture!!
XoXo 💋
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Sierra
Un dernier aurevoir a Analya, et je pénétrai sur mon lieu de travail et me dirigea aussitôt à l'accueil.
- Oh Sierra , tu es en retard. M'interpella Alexia mais son expression changea en voyant l'état dans lequel j'étais je devais faire peur à voir, Est-ce que ça va ? Me demande-t-elle inquiète.
Ma vision commençait à se brouiller, je clignai des yeux et lui demandai : Tu sais où est Antonio, c'est urgent ?
- Tu es blessé , il faut te soigner.
- Après je le ferai, mais il faut que je sache où est Antonio ?
- Je vais l'appeler attend deux secondes. Elle passa un appel en me lançant un regard.- Il est en pose dehors.
Je la remercie avant de partir en courant.
Les patients et le personnelle me regardai comme si j'étais une folle. Sa devait sûrement être le cas.
Je sortie à la hâte en dehors de l'hôpital vers le coin où il avait l'habitude de rester.
- Antonio ! l'appelais je alors qu'il était en train de fumer.
Il se retourna et quand il vit mon air paniqué il se précipita vers moi.
- Sierra tu vas bien ? Me demanda-t-il inquiet.
-Non-ça ne va pas, pas du tout. Répondis je alors que les larmes dévalèrent mes joues, j'étais tellement fatigué.
- Qu'est ce qui t'arrive , et ton poignet ?
- Diego a un problème avec un cartel ou je ne sais quoi , un gros problème ils m'ont tenue en otage j'ai pu m'échapper mais pas pour longtemps ils vont me retrouver il faut que tu m'aides tu es la seule personne qui peut m'aider. Débitait je
-Et Diego, il est passé où ?
- Je ne sais pas, il ne répond plus à mes appels.
- Putain c'est la merde, carrément la merde. Dit-il choqué.
Épuisé, je fondis en larme et il me prit dans ses bras.
- Écoute ça vas aller, j'ai un ami qui pourrait te crée une nouvelle identité et tu partiras le plus loin de là et-
Sa phrase resta en suspense suivit d'un coup de feu, je fermai les yeux à cause d'un bourdonnement d'oreille désagréable.
Je me figeais devant le corps d'Antonio maintenant sans vie qui tomba d'entre mes bras.
Le temps sembla s'arrêter.
Tout d'un coup, j'entendis les cris de panique des personnes autour de moi, des coups de feu tirés.
Un horrible sentiment me submergea, de la terreur à la culpabilité et enfin la panique.
Je levai les yeux du corps de mon ami, mes yeux croisèrent celle d'un homme un bleu glacial et lorsque je me rendis compte qu'il tenait une arme à feu tendit vers nous je savais que c'était lui qui l'avait tué.
Je m'écroule à côté du corps sans vie de mon ami, un frisson d'horreur me parcourt l'échine et je mets ma main devant ma bouche pour me retenir de vomir. Mon corps secoué de violent tremblement , un sanglot m'échappa.
- Eh Luis, ta tête d'œuf a fait peur à ma Bella enfoirée ! Reconnais-je la voix de l'homme qui m'avait interrogé plus tôt dans mon dos.
Ils m'avaient retrouvé, je laisse un cri de peur m'échapper.
Des bras me soulevèrent et de toutes mes forces j'essayais de me débattre et de crier à l'aide .
- Caillate ! Me Hurle le dénommé Luis.
Sans me retenir je lui crachait à la figure, geste que je regrette immédiatement après que ma joue ai reçu une énorme gifle.
- Tu n'imagine pas tout ce qui t'attend, Raphael on n'y va.
Face a ses mots je fondis en larme, c'était la fin on allait me torture ou me tuer, alors que dans cette histoire j'étais la seule innocente.
Il m'entraîna dans une voiture et s'assit à côté de moi sur la banquette arrière, je gémis de douleur lorsqu'il prit violemment mon poignet blessé pour l'attaché.
- Ferme moi ta gueule. Me Hurle-t-il dessus
- Eh Lui, on ne parle pas comme ça aux jolies filles voyons. Dit Raphael assis derrière le volant. Et n'abîme pas le visage de ma bella enfoiré. termina-t-il d'un ton amusé.
- Ecoute fils de chien tu ne vas pas me les casser déjà que je m'occupe de vos merdes alors roule et ferme bien ta gueule. Rétorqua ce dernier.
Raphael lâcha un rire et me lança un regard dans le rétroviseur.
Des larmes silencieuses coulaient le long de mes joues et sans mis attendre je reçu un coup d'arme qui me fit perdre connaissance.
Miguel
QG Santa Marta
Esteban mon bras droit assis devant moi, ces lèvres bougèrent mais j'avais arrêté d'écouter après le « on nous a volé 10 millions d'euro » et encore moins après « la seule personne qui peut nous aider à le retrouver c'est enfui ».
Je venais de rentrer de Medellin d'un séjour de deux jours pour découvrir qu'on nous a volé l'argent que je devais à un fournisseur, que le QG s'est fait attaquer et qu'une puta a réussi à s'enfuir pendant l'attaque.
Je pris une profonde inspiration, me leva et pointa avec mon arme ce carbón qui me sert de cousin.
- Trouve moi une excuse pour que je ne te plombe pas la tête tout de suite. Lui demandais-je calmement.
Esteban écarquilla les yeux, je pouvais sentir sa nervosité, sa jambe bougea incontrôlablement sous la table.
- Ecoute Miguel, je vais retrouver cet hijo de puta et il nous rendra cet argent, laisse-moi gérer ce problème je te ramènerai cet argent devant ta porte.
- Mais comment carbón ?! M'écriais-je. Comment tu vas le retrouver hein dis-moi ça ?
- On a sa sœur , quand il sera ça il viendra directement c'est la seule personne qui lui reste.
Je lâchai un rire nerveux "sa soeur" dit-il, ce genre de personne ne connaît que l'argent. Je m'avança vers lui en lui donnant un coup avec mon arme.
- Tu as intérêt à retrouver mon argent si tu ne veux pas perdre ta place à cause de ton incompétence.
Esteban fait partie des rares personnes qui possède ma confiance mais en ce moment il fait beaucoup d'erreurs.
« - Chefe on a retrouvé la captiva. » La voix de Raphael résonna à travers le talkie-walkie.
« - J'arrive. »
Un rictus s'esquisse sur mes lèvres, j'allais me la faire cette petite emmerdeuse
Sans lancer un regard à Esteban, je quittai la pièce et me rendit vers le sous-sol.
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Sierra: La captiva de Santa Marta
Romance« Encore une promesse gâchée, encore... » c'était - elle dit mais cette fois c'était la dernière. Sierra Reyes, une jeune infirmière qui ne rêve que d'une chose fuir son chaos familial et être enfin libre mais elle ne savait pas que en s'associant...
