CHAPITRE 17: Un jeux dangereux

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Bonne lecture !

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 Sierra 



- Entre Sierra.

Je prends une grande inspiration et rentre dans sa chambre. Dos a moi, Miguel enfila un t-shirt noir et se retourna.

- Il faut changer le bandage, dis-je.

En fait, j'avais beaucoup hésité avant de venir ici. Quand nous sommes rentrés, j'avais directement pris une douche chaude pour m'apaiser en me demandant si je devais le laisser mourir d'une infection ou mettre ma fierté de côté et le soigné. Bien sur mon rôle ici était de surveiller sa blessure donc me voila une trousse de secours à la main a contemplé sa chambre qui était d'ailleurs deux fois plus grande que la mienne.

Il hocha la tête et enleva son t-shirt, je détournai le regard toujours aussi mal alaise et son ricanement résonna dans la chambre. Il s'assît sur le lit et je me positionne en face de lui pour lui enlever son bandage.

Malheureusement, sa blessure était en bonne état. J'essayais de rester impassible face à son regard sur moi.

Putain, il avait un problème a fixé les gens.

- J'ai fini, dis-je enfin. Je rangeai vite le matériel dans la trousse et m'avançai vers la porte.

- Attends, dit-il. Je me retournai vers lui qui était toujours torse nu et le questionna.

- Demain il y a le rendez- vous avec le collaborateur, réveille-toi tôt.

Je fronçais les sourcils, commença « réveille-toi tôt » ?

- Je dois t'accompagner ?

- Oui, tu pensais rester seul ici.

Exactement cabron !

- Mais si je suis là, c'était juste pour surveiller ton état de santé pas pour rencontrer des mafieux.

- J'ai décidé que tu viendras avec moi alors tu obéis et tu la ferme.

Je pris un inspiration, me mordis la lèvre pour ne pas dire quelque chose qui causera ma perte. Son sourire satisfait me donna des envie de meurtre.

- Bien.

Je décidai de sortir de cette chambre mais sa main retenant mon poignet, je lâchai un hoquet de surprise prise d'une envie de vomir.

Respire Sierra tout va bien.

Il me tendit une bague, surprise je levai les yeux vers lui.

- C'est pour qu'on soit plus crédible, dit-il seulement. C'est vrai j'étais censé être sa fiancée.

Il prend ma main tremblante et me met la bague. La situation m'échappa et sa me rendait folle, j'étais son otage et il pouvait faire tout ce qu'il voulait de moi, mais joué les amoureux avec un mafieux c'était autre chose. Tout ça me dépassait.

J'hochai la tête et sortit enfin de sa chambre, j'avais besoin de sommeil.


Sierra: La captiva de Santa MartaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant