Chapitre 2

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Iris
Paris.

Deux jours étaient passés, deux jours que le jeune espagnol m'avait proposé ce slow.
Et je me souviendrai toujours de ce premier jour, de nos premiers sourires, de nos regards. De ce jour où tout à commencé.

Je ne sais pas la raison pour laquelle il l'a fait mais je ne regrette pas une seule seconde qu'il m'ai inviter à danser avec lui. Il était très concentré sur ses pas ce qui le rendait encore plus beau.

Il envahissait mon esprit, il m'envahissait.

Dans l'après-midi, je retournais en Espagne à Barcelone, je pourrais peut être me renseigner sur le Camp Nou pour espérer le voir. Juste une fois, pour revoir les prunelles de ses yeux. Son sourire, son air gêné qu'il semblait garder toujours avec lui. J'espérais aussi qu'il me voit juste pour savoir si il se rappelait de moi. De mon prénom.

Je n'ai même pas était foutu de lui demander si il pouvait me donner son numéro. Je me sens si bête. Peut être n'aurait-il pas voulu, possible mais je préfère ne pas penser à cette version car ce n'es pas celle que je préfère.

Mon père m'a dit "tu le retrouvera si le destin le veux."

Et si le destin ne le voulais pas, cela voudrais dire que je ne le retrouverais jamais. Je ne retrouverais jamais c'est prunelles qui m'avais tant marquée ce soir là.

Mon père m'annonça qu'il était l'heure de partir. J'avais hâte cela voulais dire que j'avais une chance de le retrouver.

Si je ne le retrouvais pas tant pis je continuerais ma vie comme tout le monde.

Je me dirigea vers la voiture dans laquelle mon père m'attendait, et monta sans le faire plus attendre.

Le trajet semblait assez rapide même si il duré tout de même neuves heures et demi. Avec mon père nous avions lancé une playliste qui rappelais l'été même si nous n'étions quand mars. Nous avions donc chanter tout le long du trajet.

Une fois arrivé je monta ma valise et commença à ranger mes affaires,
puis j'allas prendre une douche parce que neufs heures et demi de route ce n'est pas rien. Puis j'entama mes recherches sur le fameux Pablo Gavi.

Pablo
Barcelone.

J'étais enfin de retour chez moi plus que fier d'avoir remporté deux trophés. Ma famille aussi était fier ce qui me rendais encore plus que heureux.

Je pensais aussi beaucoup à Iris,
elle envahissait mon esprit, elle m'envahissait.

Et je me souviendrais toujours de ce premier jour, de nos premiers sourires, de nos regards. De ce jour où tout à commencé.

Je m'en veux de ne pas lui avoir demandé son numéro, on aurait pu parlé, se retrouver.
J'aurais pu la revoir, revoir son magnifique sourire, ses magnifiques yeux, son magnifique visage. Mais je ne l'ai pas fait. Et je m'en veux. Ma mere m'a dit "Si Dieu le veut, tu l'as retrouvera".
Alors Dieu j'espère que tu le veux car j'ai vraiment envie de la revoir.

Je ne peut même pas tenté de la retrouver je n'ais que son prénom.
Il faudra que j'en parle à Pedro, lui a toujours les solutions à mes problèmes, et j'espère de tout cœur qu'il aura cette solution.

Il faut que j'arrive à me sortir cette fille de la tête car les entraînements reprennent dans quelques jours seulement et je n'ais pas envie d'être déconcentré par cette fille car Xavi ne risque pas d'être très content. Et je risque de ne pas jouer le prochain match chose dont je n'ai pas du tout envie.

Pedri est arrivé chez moi, je lui ai directement parlé d'Iris il m'a conseillé de la retrouver si je le voulais vraiment sinon il valait mieux que je laisse tomber. Mais je vais la retrouver, elle prend trop de place dans mon esprit, je voudrais lui reparler au moins une fois, ou alors seulement l'apercevoir. Rien que ça me suffirait largement.

Juste une danse / Terminée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant