Juste une danse / Terminée

Chaptire 20

Pablo
Barcelone.

Iris venais de m'annoncer son cancer... Les larmes me montais au yeux, Iris s'effondra dans mes bras, je ne comprenais pas comment était-ce possible. Elle m'annonça aussi que aucun traitement n'étais possible car c'était trop tard. Elle pensais que j'allais l'abandonner. Mais jamais je n'aurais fait ça, je suis trop amoureux d'elle trop pour ça.

Elle me demanda de venir avec elle demain l'annoncer à sa famille, j'accepta car je ferais tout pour la soutenir. Et je voyais bien que cela lui tenais a coeur. Même si je dois rencontrer ses parents dans de telles circonstances. Cela me brissais le cœur, la pensée qu'elle allait mourir, me laisser sans elle. En laissant un vide.

Puis nous avions mangés de la salade à cause de mon régime imposé par Xavi, et nous avions démarrer un film, je lui fesais des papouilles, elle me fesait de la peine, elle avait beaucoup pleurer, cela se voyait encore vu les yeux rouges et gonflés qu'il y avait sur son visage. Mais malgré ça elle restait magnifique. Plusieurs minutes après elle s'endormie. Je la pris alors dans mes bras et nous allions nous couchés. Je la pris dans mes bras et la serra, comme pour lui montré que je ne l'abandonnerais jamais.

Je me réveillais il était dix heures, et Iris dormais encore. Je ne voulais pas la réveillée elle avait beaucoup pleurer hier, il fallait que je la laisse se reposer. Je partis donc prendre une douche, me changer et je pris l'initiative de préparer le petit déjeuner, même si la cuisine n'étais pas mon fort, je doit l'admettre.
J'avais trouvé une recette de pancakes asser facile sur internet donc je décida de les faire. Une fois le petit déjeuner préparé et installer sur la table, je partis réveillée Iris. Elle était si belle...

- Iris, ma chérie, réveille toi j'ai préparé le petit déjeuner et après il faut que l'on aillent voir tes parents. annonçais je doucement.

- D'accord. me répondit elle en ouvrant les yeux doucement.

- Prends ton temps je t'attends dans la salle à manger. lui dis-je.

- Oui, j'arrive. Merci Pablo ! me dit elle.

- C'est normal.

Je lui souris et partis pour qu'elle puisse se doucher et changer tranquillement. Quelques minutes plus tard elle arriva et nous mangions en silence.

- C'est délicieux Pablito. s'exclama t-elle en se retenant de rigoler.

- Ah ça m'appel comme ça maintenant. Très bien. dis-je faussement vexé.

Puis nous éclations tous les deux de rire suite au surnom qu'elle m'avait donnée.

Cela me fesait du bien de la voir rire, car je ne voulais pas que durant ses deux précieuse semaines elle se renferme sur elle même.

Nous étions à la porte des parents de Iris je stressais légèrement à l'idée de les voir, mais je n'étais pas le plus stresser de nous deux. Cela fesait cinq minutes que Iris restée planter devant la porte, elle n'osait pas bouger. Donc je m'avanca vers la porte et toqua à sa place.

- Bonjour, oh Iris comment va tu ma chérie ? demanda une femme en ouvrant la porte, sûrement ça mere.

- Bonjour maman, hum papa est là ? demanda t-elle.

- Oui bien sur pourquoi, quelques chose ne va pas. questionna ça mere.

-Je dois vous dire un truc... Fin deux. répondit-elle.

Iris
Barcelone.

Nous étions sur le canapé dans le salon de mes parents, j'avais prévu d'en un premier tant de leur parler de ma relation avec Pablo puis de ma tumeur. Je ne voulaient pas les brusquer.

- Hum je vous présente mon nouveau petit copin... commençais je.

- Oh mais c'est celui qui était venu me demander si il pouvait danser avec toi lors de l'after du ballon d'or. s'exclama mon père.

Hein ? Pablo avait demander à mon père si il pouvait danser avec moi. Il faudra qu'on parle lui et moi.

Je lui lança un regard et il m'adressa un sourire timide. Ce qui me fit légèrement rire.

- Oui c'est lui. affirmais-je.

- C'est super. Il a l'air adorable. s'exclama m'a mere.

- Il l'est maman. dis-je.

Pablo se présenta et mes parents commencèrent à lui posé de multiples questions ce qui me mettait mal à l'aise donc je décida d'intervenir.

- J'ai autre chose à vous annoncer. affirmais je timidement. Moin joyeux... continuais je.

- Dit nous tous ma fille. me réponda mes parents ensemble.

Bon il restait plus qu'à leur annoncer.