11- Rapatriement

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Tw: Torture.

Ca fait longtemps🙂. Bonne lecture et si vous remarquez des incohérences dites le moi en message privé. Bisous🤍
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Tw: Torture(modérée)

Pdv Ayah.

Je voyais la poignée s'abaissait lentement alors que la panique s'installait rapidement en moi. Si ce n'était pas Matthia alors qui cela pourrait il bien être.

Je pris l'initiative d'aller dans la salle de bain et de m'y enfermer. C'était un réflexe chez moi dés qu'il y avait des mouvements non identifiés.

La porte s'ouvrit finalement d'après le grincement que je percevais depuis la salle de bain. J'étais plongée dans un noir complet dans l'attente de mon sort.

Des pas lourds se faisaient entendre.
Tiens donc ça me rappelle mon paternel.

Je bloquai ma respiration au moment ou la poignée de la salle de bain fut arrachée.

La porte s'ouvrit sur-

Lorenzo.

Il ne manquai plus que ça. Il attrapa mon bras et me tira vers la sortie de la chambre. Si mon bras ne se décolle pas avant la fin de l'année cela m'étonnera beaucoup.

Trève de plaisanteries.

Lorenzo m'emmenai vers la conciergerie si je devais me fier au panneau vissé sur le mur que je voyais de loin.

Aucune paroles n'était sortie de sa bouche et je n'avais pas le droit de parler sans son autorisation. Il regardait devant lui sans jamais tourner la tête. Il était habillé d'un col roulé noir et d'un pantalon à pince noir. L'aura qu'il dégageait ne présageait rien de bon.

Arrivée devant la porte, il la déverouilla avec la clé et s'engouffra dans la pièce toujours en me tenant le bras.

L'espace de la pièce n'était pas si petit, il y avait beaucoup de place libre des cartons empiler d'un côté et les produits de nettoyage placés correctement. Lorenzo referma la porte à clé avant de me regarder dans les yeux.

Automatiquement, je baissais les yeux.

Faible
Soumise

- Ce que je déteste, c'est les menteuses. Donc tu vas me dire sur le champs qui t'envoie. Dit Lorenzo en brisant le silence.

- Je ne sais pas de-de quoi vous parlez.

- Ne joue pas à la plus maligne. Qui t'envoie.

Voyant que je n'avais pas de réponse, il prit un seau d'eau qu'il posa sur la table

- Je te laisse une dernière chance qui t'envoie?

- Personne ne m'envoie Monsieur.

- Bien.

Je sentis une vive douleur vers mon crane. Mon acheteur pris mes cheveux dans sa main avant de les tirer vers le bas.

- Tu n'a toujours pas de réponse?

- Je vous jure que-

Je sentis mon visage plongé dans l'eau. Je sentais mon nez bouché et une sensation désagréable arrivait vers moi.

Je me sentais perdre connaissance quand il tira mes cheveux vers le haut.
Je pris une grande inspiration alors que j'étais en train de tousser il m'interpella à nouveau.

Escort Girl~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant