Chapitre Trois

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Je marchais rapidement vers chez moi, me rappelant de se qu'il venait de se passer avec Sano.

Tp: Bah je vais le garder son pull ! Comme ça il aura bien le seum.

J'essayais juste de me convaincre que je ne voulais pas de se pull. Mais, en réalité, je voulais juste le garder. C'était un pull simple, large et confortable.

Après quelques minutes de marche, j'étais enfin devant ma grande maison. J'ai ouvert le grillage puis je suis entrée dans le jardin de devant. J'ai pris une pétale de fleur avant de la poser sur l'eau du petite étang où logeaient plusieurs poissons. J'ai continuée ma marche vers ma porte d'entrée. Une fois devant, je l'ai également ouverte puis je suis entrée dans ma maison, prévenant mon arrivé en retirant par la même occasion mes chaussures.

Tp: Je suis rentrée !

?¿?: Tp.

Tp: Ayame ! Bonjour.

Ayame: Bonjour, comment vas-tu ?

Tp: Bien et vous ?

Ayame: Très bien, merci. Je te préviens juste que tes parents sont partis en voyage se matin. Ils t'embrasse fort et reviennent d'ici trois semaines.

Tp: Ok, d'accord !

Ayame Sano. Cette si gentille femme est ma gouvernante. Elle a de longs cheveux noir souvent attachés en queue de cheval basse. Ses yeux sont d'un sombre absorbants, se qui lui donne un joli style. Puis elle est mâture et sait vraiment beaucoup de choses. Donc elle m'apprends certains truc que je ne connais pas et me fais comprendre les autres. Elle m'écoute attentivement quand j'ai des problèmes et j'écoute les siens.

Ayame: Le repas est prêt. Tu dépose t'es affaires et tu viens manger, d'accord ?

Tp: Okkk !

Je suis montée dans ma chambre, déposant doucement mon sac sur le sol, prés de mon bureau, puis je suis redescendu dans la salle à manger. Elle servait le repas et moi j'installais la table, pour l'aider. Une fois l'eau installée et les assiettes remplis, nous nous asseyons et commençons à manger.

Tp: Dites-moi, j'ai une question...

Ayame: Oui ?

Tp: Si notre cœur bat anormalement en compagnie de quelqu'un, que nos joues se teintes de rouge et que notre respiration se saccade sans le vouloir, somme nous malade ?

Ayame: En compagnie de quelqu'un ?

Tp: Oui !

Ayame: Ho et bien... Ha !

Tp: Quoi ?!

Ayame: Je sais.

Tp: On peut en mourir ?!

Ayame: Je ne sais pas. Mais cette "maladie" comme tu dis, s'appelle sûrement l'amour.

Tp: Hein ? C'est quoi encore ces conneries ?

Shinichiro S. x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant