Madame Dutancour // TOME II

Chapitre 1 "Mon enfer, mon chez moi"

Bonjour à vous cher lecteurs et lectrices ! Nous voilà pour la suite de Madame Adler ! Je conseille aux nouveaux venus de se dirigez sur mon profil pour y lire le Tombe 1 ^^ J'espère que ce tome vous plaira autant que le premier !

L'ordinateur m'afficher 17:41 et mes collègues qui passer devant mon bureau sans me jeter un regard, me fit comprend que la journée était terminé. Un coup d'œil sur les dossier de mon bureau et je su fatalement que j'aller devoir terminé beaucoup plus tard et la nuit serai déjà tombé. Je soufflé doucement en m'étirant et continua mon travaille avec enthousiasme, après tout j'ai eu la chance d'avoir était recruté par une entreprise de conseils juridiques compétentes dans le sud de Francfort. Perdu dans mes pensées en pianotant sur le clavier de mon ordinateur je ne vit pas mon supérieur arrivée à ma porte.

"- Vous n'avez pas encore terminé vos dossier Adler ?

Je lui jeta un regard désolé face à la dureté de sa voix, ne cherchant vraiment pas à me faire d'ennemis, déjà qu'on m'apprécier peu.

- Je suis navré Messieurs Traube, je n'ai pas encore acquis la vitesse de l'entreprise mais cela ne devrait pas tardé."

Son regard se fit jugeur presque menaçant et partie sans rien dire même pas un en revoir.  Je n'était pas accepter suite à mon passé en France qui pour eux, était des feignants et des râleurs et donc que l'était de toute évidence. Au début je me suis plié en quatre pour leur prouvé le contraire, café, imprimantes ... j'ai fait tout le sale boulot jusqu'au jour où j'ai craqué. Un avocat m'avait jeter les restes de son sandwich sur ma veste, prétextant que c'était de mauvais gout. Je ne lui avait jamais donner son déjeuner mais mon arrivé en furie dans le bureau du RH me dégota un poste tranquille loin de ces connards. Malheureusement l'autre problème je ne pouvait pas passé à coté... Achill l'homme qui maintenant partager ma vie de force, me fessait vivre un enfer depuis qu'il avait retrouver ma trace à Paris. Bien sûre il ne me frappé pas, déclarant que sa serai dommage de gâcher le seule atout que j'avais pour moi et donc je prié chaque soir que cette "atout" me sauve encore de sa colère. 

J'avait longuement négocier nos fiançailles, prétextant ne pas me sentir prête car je voulait aussi bien subvenir à ces besoins que lui au miens et que pour l'instant je préférer me concentré sur ma carrière. Il avait répondu en grommelant mais avait accepter suivant de près mes avancer dans l'entreprise. En Allemagne une femme ne peut pas être mère de famille et maniaque du boulot et fallait faire un choix et le mien était fait, je me tuer à la tâche loupant des repas, pour toujours faire plus.

Le dernier dossier écrits sur mon ordinateur il était bien 18:11 et le soleil se coucher en cette fin d'année. Je regarder mon téléphone et vit avec nostalgie la photo d'Astra et de Vanessa sur mon écran et le verrouilla pour ne pas me faire plus de mal. Mon éternel passé en France me rattraper toujours et pas tout les moyens, images ou souvenirs ...  J'éteignit tout dans mon bureau avec une lenteur que je me connaissait pas, je voulait pas le revoir, subir son regard, ces questions.

Je dit aurevoir aux derniers retardataires du bureaux qui, bien sure, m'ignorèrent royalement et partie en direction de mon nouveau chez moi. Une maison classique aux bordure de la ville, avec son petit jardin me changeant bien de mon appartement à Paris qui pourtant me manquer tant. Achill s'enfermé dans un rêve qui n'était pas le mien, le classique. Marié avec des enfants et pourquoi pas un chien et une belle voiture ... Non ... Mon rêve ? Je souffla en regardant la route dans ma voiture et réalisa avec tristesse que mon rêve etait de retrouver ma vie d'avant, celle où j'admirait une étudiante pleine d'arrogance et que ma meilleure amie était encore à mes côtés. Oui c'est cela mon rêve, tout ça !