Chapitre 2 "Je ne me reconnait pas"

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Warning : ATTENTION : Ce chapitre parle de sujets sensibles et demande aux plus jeunes ou ceux qui se sentent concerné par le sucide, maltraitance de me demander un résumé soft pour vous

Merci bonne lecture !



Sa fessait bien 10 minutes que j'était adosser au lavabo de la salle de bain, a regarder le reflet d'une personne que je ne connaissait pas. Cette femme inconnu que je regarder avait le regard bleu vide d'éclats, des cernes prononcées mais surtout une expression faciale fatigué et sans émotion ...

Elle a l'air si fatigué, épuisée au point que son teint de peau était pâle; ces cheveux brun était sec, pas entretenu.

"- Qui est tu ..."

Je me surpris à la voir bouger ces lèvres en même temps que moi, me créant un frisson de peur. Non ce n'ai pas moi... C'est impossible ! Pourtant que je tendit ma main d'un air compatissant pour la rassurée, la sienne aussi ce tendit vers moi avec le même air.

Je murmura :

"- Je ne veut pas de ta pitié.."

Mon regard s'attarda sur ces avant bras où je pouvait voir une large poésie écrite dans le sang ...

Un bras meurtri, autrefois doux comme la soie, Porte désormais les stigmates d'une âme en émoi. Les veines, naguère discrètes ruisseaux de vie, Se sont transformées en éclats d'une triste mélodie.

Une rivière d'écarlate, s'échappant du fragile écrin, Écrit une histoire silencieuse, pleine de chagrins. Le rubis éphémère, tel un appel au secours muet, Témoigne de l'abîme où l'espoir s'est perdu, en secret.

Chaque gouttelette, témoignage d'une bataille intérieure, Révèle les tourments, les blessures de l'âme meurtrie et impure. La douleur invisible, enfouie dans les méandres de l'esprit, Émerge, se fait visible, sur ce bras ensanglanté, en dépit.

Je ne fini pas la fin de ma poésie, parlant d'un nouvelle espoir car moi, je ne le trouvé pas.

J'entendit la sonnette de la porte d'entrée retentir d'un son strident qui me fit reculer du lavabo sortant alors de ma torpeur. Il est déjà là ? Non ... Non !

Le placard à soin que j'ouvrit brutalement, m'offrit de quoi me bander les bras rapidement et de cacher les cicatrices apparente même si Achill le savait très bien et qu'il s'en foutée royalement tant que son objet était encore en vie. Chaque soir c'était le même cauchemar ... J'avait fui la situation pendant un temps mais ... sa patiente à était réduite. Comme il le dit si bien : Je suis punie pour l'avoir contrarié.
Et apparemment je le contrarié souvent.
Un dernier regard a la salle de bain qui était ma seule compagne dans mes moments de solitude, que je partie ouvrir la porte, nerveuse et terrifié de celui que j'allais retrouver.

Il lui arrivé souvent d'oublier ces clés et quand c'était ainsi, il reporté sa colère sur moi. Après tout il avait tout les pouvoirs, tout les droits. Il m'avait donné un travail et voyant que je fuyait dedans comme prétexte de pas le voir il a tout fait pour me faire viré. Il a du pouvoir pour un simple PDG d'une entreprise de construction... Je le hais.. je voudrais le tuer ... Puis ensuite ... Je partirai aussi. Je n'ai plus rien qui me retient à présent. Oui, je vais préparer celà... Je dois être patiente.

Quand j'ouvris la porte, je ne vit personne. J'avais été trop longue... Un coup d'oeil à la boîte aux lettres me révéla que c'était pas le facteur mais la voiture de mon fiancé n'était pas là non plus. Était il partie ?

Madame Dutancour // TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant