derniers mots

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               À toi.

Au moment où j'écris ces mots, ça fait déjà un an et demi, 17 mois.  C'est long, 17 mois, terriblement long même. 17 mois que j'ai entrepris l'écriture de cette histoire pour toi, parce que je voulais te rendre hommage, un hommage qui soit à ta hauteur, qui montre à quel point tu étais aimée et appréciée ; une personne merveilleuse, la meilleure qui soit. Cette histoire, je l'ai écrite pour toi, pour me souvenir de toi et de ce deuil qui a été - et est toujours - difficile. Je voulais simplement montrer à quel point tu était extraordinaire, et à quel point tu étais une personne formidable et rayonnante.

Merci pour tout, merci d'avoir partagé ma vie.


               À vous.

Merci d'avoir pris la peine d'avoir lu cette histoire — aussi courte soit-elle —, parce que, malgré tout, elle me tient énormément à coeur, et savoir qu'elle a pu être lue, appréciée, me fait énormément plaisir.

Comme je l'ai dit, elle est très personnelle ; je n'ai pas l'habitude de faire ça, de mettre une grosse part de moi-même dans mes écrits, du moins pas de façon aussi poussée. J'ai évidement changé des éléments, je veux pas non plus étaler ma vie ainsi que celles des personnes concernées, mais tout est basée sur de événements réels, des discussions, voire même des situations. J'ai juste un peu changé certains aspects, mais toujours en gardant quelque chose de fondamentalement vrai.

Je voulais simplement vous remercier de l'avoir lu, parce qu'elle mérite qu'on parle d'elle, et de la meilleure manière qui soit.



(le) deuil numériqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant