Chapitre 4

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Pdv kalista :

Je ne sais pas si je la déteste ou si je l'aime. Car elle m'a quand même emmener mais elle me chambre.
Dans la voiture personne ne parle. Le commissaire allume la radio pour mettre un peu d'ambiance. Tout à coup, la voisine prend la parole. Mais elle chuchote quelque chose dans l'oreille du policier. Je me demande qu'est ce qu'ils peuvent bien se dirent. Je m'approche pour écouter mais la voisine me colle son doigt sur ma bouche.

La voisine : On ne t'a jamais dis de ne pas écouter les conversations des gens,  surtout devant des gens comme nous.

Kalista : Euh... Pardon je voulais savoir de quoi vous parlez.

La voisine : Petite mal polie. Tu ne mérites pas que je te t'emenne.

Kalista : Ce n'est pas que je suis un enfant que vous devez me parlez ainsi. J'ai toujours eu un immense respect pour vous. Et vous vous me tutoyer et me manquer de respect.

La voisine : Ohhh !? Comment oses tu.

Le commissaire : Je pense qu'une petite fille d'à peu près 13 ou 14 ans à réussi à vous défiez. 

Arrivée devant mon domicile je rentre accompagné des deux adultes dans la maison. Le policier se cache dans l'armoire et la voisine rentre chez elle. Mon père arrive. Et dit :

Kang min : Où était tu passé !?

Kalista : La où tu pens... penses.

Il me prit par les cheveux et me plaque contre le mur. Mais le policier sors et le prend par le col.

Le commissaire : Vous  ne toucherai plus un cheveux de cette fille.

Mon père me regarde et comprends que je l'ai dénoncer.

Papa me tend les bras et le policier aussi. Je ne sais pas dans quel camp aller...

Souffrance éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant