Les jours se suivent.

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Ce matin, le réveil fut pénible et je ne m'attendais pas à avoir tant de travail

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Ce matin, le réveil fut pénible et je ne m'attendais pas à avoir tant de travail.

Déja, quand j'entrais dans une pièce, il fallait presque une heure pour que le calme revienne et que le professeur puisse commencer son cours sur la magie.

Ce qui m'intéressait, c'était la langue que je connaissait et je voyais immédiatement les erreurs gramaticale.  Le support étaient comme des circuits logiques basé sur un plan de mana, dans un champ comme életromagnétique mais ayant sa propre dimension.  En fait, si j'appliquais mes connaissances en physique fondamentale à la magie, je pourrais devenir le magicien le plus ... Malin au monde...  Evidemment, j'étais...de niveau..1..en mage   et..niveau 7 général.

Je n'avais pas tué grand chose et je n'étais certainement pas OP!!, voulant dire surpuissant.

Oui, je pourrais compenser, avec des générateurs de mana, des capaciteurs et autres artefacts ou creations spécifiquement prévues. 

En une journée, j'avais compris les bases et le reste n'était que suite logique.

Mais je restais car il y avait aussi l'aspect mystique qui, par principe empruntait le pouvoir divin pour se soigner par exemple.  Et ici, on parlait de dévotion.

C'était aussi un problème.. la foi... et rien de tel qu'une bonne foi pour réunir tout le monde...

Donc, une divinité se rapprochant le plus de la chrétienté était Misérica, la déesse de la miséricorde, du pardon et de la guérison.  Un genre de culte envers la vierge Marie..

A la fin du cour j'étais intéressé pour nous faire baptiser au culte de Misérica.

Le lendemain, Krator se calma un peu et sa cervelle commençait à assimiler.

Le chevalier enseignant l'héraldique avait de la patience et ce qui rassurait Krator et les autres, c'étaient que les humains avaient aussi difficile.

Je le rassurai en lui montrant qu'il n'était pas derrière, mais c'était simplement du rattrapage.  

Tout le monde ne savait pas lire et il apprenait comme n'importe quel humain.

La tension était toujours la quand il était présent mais les chevaliers candidats s'habituaient progressivement à nous et certains osèrent parler à Kri et Kra, plus petites et moins effrayantes.

Quand il fallait jouer ou chiper, elles étaient les premières.

L'un des écuyers proposa un "pacte" de "complicité" pour aller dérober des tartes aux fruits.

Il distrairait les cuisiniers pendant que les wyvernes seraient au plafond et chopperaient les tartes  en volant .

Cela n'échappa pas à l'oeil de Romas,  lui aussi, étant un chapardeur quand il était encore jeune écuyer de Virgile "Le Vieux"

Mirmoelnir la WyverneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant