Le dôme de cristal

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Je tombais dans le noir et il y avait comme des grains de pollen au microscope qui tombaient avec moi.


C'était des réalités, d'autres réalités, d'autres mondes et je glissai hors de ma réalité.  Puis, mes instincts commencèrent à me guide.  Je reconnaissais la peur et mon esprit se fixa sur la peur..  

Mon instinct me criait  "C'est ton monde.  Tu as des petits !  Tu as une famille!  Tu as des femelles!  Tu as un domaine!  Tu as de l'or!!  Tu es un dragon.."


J'étais un dragon!  Oui.. un dragon.. j'étais un dragon et je tendis la patte pour m'accrocher aux piques du grain de couleur pourpre, le grain de pollen

 j'étais un dragon et je tendis la patte pour m'accrocher aux piques du grain de couleur pourpre, le grain de pollen

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Sauf que le fond était noir, abyssal, sans fin.

Le néant.

Je me glissai alors dans la fleur et ma conscience reprit des fragments.

Le délicieux gavage de maman, être couvé.

Le  sauvetage de Blanche , Les blagues faites aux domestique.  C'était comme un puzzle d'événements qui n'avaient ni queue ni tête.

Mais j'ouvris mes ailes et je me mis à les battre et je survolai un océan de photos et de flash de ma vie de wyverne.

Mon instinct ne comprenais pas mais maman et papa étaient la et me protégeaient.

C'était la base.  Le commencement.  Le recommencement.

Puis 3 wyvernes sortirent d'un oeuf et partagèrent la becquée et rapidement on se serrait les uns les autres et on passait nos journées dans le nid à se lécher et se relécher, comme si nous faisions qu'un corp.

On se touchait, on se frottait et on grognait ensemble et, comme des oiseaux, on ouvrait la gueule pour recevoir notre sang et chair déchirée par maman.

Puis les calins sans fin..

Et.. je perdis conscience, comme endormi dans le nid familial.


Pendant ce temps, les wyvernes hurlaient et Blanche mis sa tête dans le trou en hurlant après moi.

Puis Kraa fit pareil et mon nom fut remplacé par du chagrin, des pleurs, des couinements et pour finir une litanie de pleureuses.

Elles étaient inconsolables mais aussi terrifiées  qu'une griffe immense ou une araignée géante ne les prennes à la gorge et qu'elle subissent le même sort que moi.

Les militaires arrivèrent vu le vacarme, les wyvernes réveillées et toute sorties volant comme des frelons autour de notre termitière  / palais.

Neuville arriva près du trou et .. c'était un trou sans fond.  noir noir et noir.

On creusa en dessous et il n'y avait rien,  C'était comme un trou d'ombre, un gouffre de plusieurs mètres de diamètre.


Mirmoelnir la WyverneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant