VII︱ACHLYS

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Achlys
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Un écho d'un claquement de porte se propageait à l'intérieur de la demeure. Refermant la porte derrière lui, Nate, s'empressa de s'installer à mes côtés. L'atmosphère devint funèbre. Aussitôt, je me sentis encore plus mal que je ne l'était déjà.

Mon pouls se hâta.

Qu'elle était raison ? J'en n'avait aucune idée.

" J'ai beau être gentil avec toi mais ce n'est pas le cas pour tout le monde. Je suis celui qui a le plus sympa entre nous tous. Tu as eu une sacrée chance que je t'ai appréciée, dans ces contextes je me serai comporté comme les autres "

Voulait-t-il dire que les autres me feront du mal ? Il y'avais une forte probabilité.

Le silence commençait à devenir extrêmement pesant, comprimant. Nate était assis, défilant sur son portable. Grâce au calme qui gouverné, je pus distinguer le son des portes s'ouvrir et se fermer en arrière plan. Mes mains s'abattaient entre elle dû l'anxiété qui m'animait depuis quelques jours. Chaque instant me paraissait être une éternité.

La gentillesse de Nate semblait étrange. Toutefois, je ne prêtais guère attention. Du moins pour le moment.

La porte s'ouvrit sur l'homme au cheveux de jais qui nous avait défendu face au vieux qui avait essayé de nous agresser. Ce qui n'était pas surprenant de le voir vu que je l'avais aperçu auparavant en compagnie de Nate.

Ses iris sombre reflétant le néant rencontrèrent les miennes. Je décelai cette liaison à la seconde où l'effroi me parcourut. S'approchant de ma personne, il ignora les salutations de Nate.

Dit tout ce que tu sais sur les pierres.

Mais qu'est-ce qu'il me racontait celui-là ?

Moi je sais ! Une pierre c'est dure, on les trouve souvent-

Ferme-là, le coupa-t-il impassiblement. Je voulais dire les pierres voltæ.

Pourquoi voulait-il mes connaissance ? J'avais seulement eu quelques réminiscences qui était imprécises.

Je me creusai la tête du mieux que je pouvais. Toutefois, la façon dont il me regardait me contraignit à mettre de la volonté dans mes recherches au cœur de mes souvenirs aussi flou que angoissant.

Triturant mes doigts, je relevai mon regard. L'ancrant à nouveau dans ses pupilles. Je l'abaissai instantanément, ne pouvant plus supporter son contact visuel. Ses iris me transmettaient un malaise étourdissant. Il m'intimidé.

Je...je ne sais pas. Mes souvenirs n-ne sont pas clairs, réussis-je a prononcé sous la pression d'un sentiments néfaste.

Le silence fit une fois de plus floraison.

Nous allons donc patienter que son déclic de merde réintégre son cortex, s'adressa-t-il à Nate, d'une tonalité inexpressif.

Il s'en alla sans plus attendre.

Ne t'inquiète pas il est froid de nature me fit part Nate.

Sans blague, je ne l'avais pas remarquée.

Je vais te laisser. J'ai des choses faire, m'informa-t-il.

Au fond de moi je ne voulais pas qu'il parte. Je ne voulais pas rester seul avec messieurs le glaçon. Il me faisait peur contrairement à lui. Quittant la pièce, il se fit stopper dans son élan.

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