V︱ACHLYS

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Achlys
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Eddie chercha une place où il pourrait parquer sa voiture non loin du déroulement de la soirée. Il nous avait proposé de nous apposer à l'entrée, toutefois je déclinai ne voulant pas le laisser ramer seul.

Lorsqu'il eu une place vacante, il sortit du véhicule. Je m'apprêtais à faire de même, cepandant, Ava m'en empêcha.

Il faut attendre qu'il nous ouvre la porte, chuchota-t-elle, après tout nous sommes des impératrice.

Elle voulait reproduire la scène cliché qu'on retrouvé souvent dans les film et séries d'adolescents. Le moment du bal lorsque le protagoniste ouvre la porte à sa cavalière.

Vous ne descendez pas ? Nous interrogea-t-il.

Il resta statique, attendant un réponse de notre part. Voyant qu'il ne comprenait pas ce que nous voulions, Ava, lui ordonna :

Homme ! Ouvre-nous la porte.

Il traits de son visage se crispèrent.

Vous êtes sérieuse? Nous acquiescions. Vous pouvez toujours rêver, termina-t-il, refermant la portière côté conducteur.

Rêver de toi ? Plutôt crevé ! Haussa-t-elle la voix afin qu'il puisse l'entendre de l'extérieur. Tu n'apparaît dans aucun de mes rêves et ça n'arrivera pas ultérieurement, cracha-t-elle contrarié.

Je quittai le véhicule, le contournant afin d'arriver au côté opposé. Je lui ouvris, m'inclinant légèrement.

Mademoiselle, je vous prie, exprimai-je, prenant l'intonation d'une personne gentleman.

Elle me dépassa telle une célébrité. Je refermai derrière elle. Elle me prit par le bras, cheminant en direction de l'emplacement où se dérouler la soirée. Ava décida de faire la tête à Éddie. Je le lui lançai un regard désolé. Après quelques que minutes de marche, nous arrivions à la place qui était indiqué sur les invitations.

L'endroit était éminent. Les jardins étaient d'une vénusté à couper le souffle. Les composant floraux étaient d'une vaste variété. Donnant vie à ce château. Les flambeau éclairrant la prénombre de ce début de soirée, survinrent au côté enchanteur qu'on pouvait rencontrer au sein d'une fantaisie.

Je contemplais l'enveloppe du château qui paraissait en bonne salubre. La végétation couraient le long des remparts enjolivant la superficie. Elle bénéficiait semblablement d'un lac qui longé l'édifice. Une liaison reliait les deux rives afin d'accéder au côté opposé.

Nous progression en direction des agents. Il jouissait abondamment de gens. Notre tour souvenint, un des assistants nous quémanda nos invitations que je lui concédai. Il s'assura qu'il s'agissait bel et bien d'un original. Lorsqu'il termina son audit, il nous fait signe de nous rapprocher de un de ses adjoint.

D'après leur instruction, il fallait enlever tous ses bijoux avant de passer l'encadrement du portique de sécurité. Je déposai mes accessoires dans le caisson qui leur etaient destinés. Je remis mes bijoux attendant mes amis.

C'était au détriment nous qu'ils interdisaient les photographies. Ce qui était sous mes yeux était fulgurant. Je désirais garder des souvenance de cet emplacement.

Nous arrivâmes à l'accès, les portes du château étaient grandement ouvertes.

Je me croirait au sein d'un Disney.

Le château était suréminent.

Un lustre distingué venait surplomber le cœur du hall, transfusant une lumière éthérée sur toute la surface. Un tapis nous conduisit à la salle où se tenait le bal. Marchant dessus, impatiente d'en découvrir d'avantage.

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