Chap 15

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Pdv (T/p)

Ça allait maintenant faire deux jours que Wally était revenu, je ne lui avais pas reparler depuis d'ailleurs, il était trois heures du matin, la fatigue commençait à être bien trop présente et je me préparer à aller au lit, je finis de me nettoyer le visage puis revenus dans ma chambre, la pluie tombais énormément, les dernières fois qui avait autant plus j'avais deux personnes disparaître à cause de ce foutue flash a la con, je rentras doucement dans ma chambre et me dirigeas vers ma fenêtre pour fermer mes volets, avant de fermer la fenêtre je regardas dans la rue mais ne vis personnes.

Peut-être qu'il ne pleut pas tout le temps quand le flash vient, j'haussas les épaules et regarda le ciel noircit pas d'énormes nuage, il va surement avoir un orage, je hais ça, heureusement que le bruit de la pluie m'endors, je continuas d'observer la rue et le ciel, j'en suis presque sûr, aucune personne, aucun flash, je suis entrain de me fatiguer la jambe pour rien, je me retournas pour aller vers mon lit et me rappela que je devais fermer mes volets, je me retournas a nouveau et vis quelqu'un dans la rue.

Immobile, couvert d'un manteau, il n'avait pas l'air très grand, il regardait la fenêtre de ma chambre, je fus prise de peur et fus incapable de bouger, mon cœur battais à mile à l'heure mais rien à faire je ne bougeais pas, peut-être qu'il ne m'a pas vue, l'homme ne bougeait pas non plus, je repris mes esprits et me dépêchas de fermer mes volets, j'attrapas mon ordi et alla sur google puis sur la page de Wally, la page devenu noir, les larmes avaient déjà commencer a couler sur mes joues, je ne laissas pas le temps a Wally d'écrire :

« - Wally, il y a un homme devant ma fenêtre, murmurais-je apeurée, le texte apparus vite, « Oui, je sais », quoi ? Comment ça ?

- Non, Wally, tu n'as pas compris, il y a un inconnu devant ma fenêtre, redis-je en essayant de mieux articuler, le texte changeas à nouveau, « J'ai bien compris (T/p), il y a un homme devant ta fenêtre »

- Comment, comment tu sais ? Pourquoi tu ne m'as rien dis ? Commençais-je a m'énervé, le texte changeas à nouveau, « L'ordi n'étais pas allumer et pis si je t'avais prévenu tu te serais enfuie », BAH BIEN SÛR PATATE !

- Bah oui ! Pour me protéger ! Je croyais que tu voulais mon bien ! M'énervais-je pour de bon, « Oui, je veux ton bien, c'est pour ça que je suis venu te chercher », un énorme flash, un sensation de brûlure, je fermas les yeux et m'évanouis »

Fin  

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