Pour deux âmes solitaires 2

SEIZE

Après le repas, chacun des deux amants avaient rejoint leurs chambres respectives. Lors de ce diné, ils n'avaient cessés de discutés de leurs avenir, et d'avoir des mots tendres l'un pour l'autres. Ils se désiraient bien trop, et même si Maria souhaitait prendre son temps, elle ne contrôlait à présent plus rien. Elle se mentais à elle-même, elle regrettais de ne pas s'être laissé tenté sur la plage. Ils tournaient tout les deux dans la chambre, faisant des vas et viens. Leurs pas devaient lourds, faisant presque tremblés les murs de l'hôtel. 

Maria fut la première sortir sa chambre, puis rejoignit la chambre voisine. Au moment même où elle s'apprêté à entrée, la porte face à elle s'ouvra. Elle tomba nez à nez avec Mathieu, ce dernier souhaitant également rejoindre la chambre de la jeune femme.

"-Je..."

Elle s'apprêtais à prononcer ces quelques mots lorsqu'il lui agrippa la nuque, puis referma la porte derrière lui. Il plaqua ses lèvres contre celles de la jeune femme avec tant de désire, ils ne contrôlaient plus. L'amour régnait bien trop entre ces deux êtres, cela faisait bien trop de temps qu'ils attendaient ce moment.

Mathieu bascula doucement son corps dans le lit, au dessus de celui de Maria. Il retira délicatement les boutons de sa chemise, tandis qu'elle retirait les manches de sa robe.  Aucun d'entre eux n'osaient décollés ses lèvres de l'autre, de peur que ce moment leur sois arraché, de peur que cela sois presque irréel. 

Il ne fallut quelques minutes avant que leurs ébats ne prennent place à travers la pièce. Maria oublia tout à ce moment même, elle se sentais bien et elle mourait d'envie d'être ici, à ce même endroit. Elle avais longtemps luté, essayé de se convaincre que ce n'était qu'une vulgaire histoire d'amour, mais à vrai dire, elle n'avait jamais ressentie quelques choses d'aussi fort.

Mathieu quant à lui se surprenais lui même, ce grand blond d'un mètre quatre-vingt cinq se trouvais malgré lui, pris au dépourvu de tout sentiments. Il aimait Maria, il aimait chaque parcelles de son corps, son intelligence débordante, et l'amour qu'elle était capable de lui faire ressentir. Il n'aurait sans doute espérait mieux pour des retrouvailles, cela était au dessus de toutes ses espérances. Il se sentais chanceux, il se demandais réellement comment une femme comme elle pouvait tant lui apporter, tant l'aimé.