Pensers nocturne

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Presque chaque soir je me rappelle des moments où je me haït
Car presque chaque soir les souvenirs s'enchaînent, sans trop de sens
Le flot tumultueux ne peux être arrêté
Si ce n'est par le sommeil s'il daigne enfin se montrer

Presque chaque soir je me dit que j'aimerais mourir
Car presque chaque soir je rêve d'une autre vie,
Je rêve de nouvelles choses qui feraient battre ce cœur s'évidant à l'agonie
J'aimerais trouver la force de vivre pour soulever cette carcasse semblant peser un millier et une tonne

Presque chaque soir je me rend compte d'une chose qui me semble folle
Je me rend compte qu'il me reste encore des envies et des choses qui me lient ici
Car presque chaque soir je comprend que j'aimerais que la douleurs et non la vie s'arrête

Le fil de mes penséesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant