La nuit noire me manque.
Qu'importe où je vais,
La lumière arrive à s'immiscer.
Me laissant ainsi éveiller,
Dans cette fausse obscurité.
Mes paupières closent ne suffisent plus,
Incapable y de bloquer la lumière des réverbères,
Ni même le tumulte de mes pensées.
J'aimerais ne plus rien voir
Ne plus rien entendre
Ne plus rien ressentir
Pour apaiser mes nuits
Bien trop souvent tintées de blanc.
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Le fil de mes pensées
PoesíaLe recueil d'une âme en peine cherchant un peu de liberté... Parfois, la nuit, lors de mes insomnies, ou La journée lors de mes rêvasseries je réfléchis. Des images, des mots puis des phrases se forme dans mon esprit. Mais, je n'ai personne avec qui...