05. 𝐽𝑎𝑚𝑎𝑖𝑠.

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Ma tête est lourde telle l'égo de Maria, elle tourne dans tous les sens, créant le chaos dans ma tête.

J'ai mal.

Mes paupières sont lourdes et, lorsque je les ouvre, les rayons du soleil traversent mes pupilles, me les brûlant au passage.

Un bourdonnement résonne dans ma tête.

Où suis-je ?

Je reprends mes esprits et aperçois que je suis allongé, sur un lit blanc, comme ceux dans un hôpital.

Ma salive est pâteuse et j'ai du mal à respirer. Une toux incontrôlable prit le devant quand j'essaye de prendre une grande respiration

L'air était lourd et chaud.

Mes habits ne sont pas les mêmes que ceux que j'avais avant. Mon jean a été troqué par un short noir et mon haut par un t-shirt blanc beaucoup trop grand.

Bordel, quelqu'un m'a vue toute nue.

Ça veut dire que la personne à vue m...

Soudain la porte s'ouvrît brutalement. Un homme habillé entièrement en noir rentra dans la pièce. Son visage était méconnaissable, il portait une cagoule sur laquelle seuls ses yeux étaient visibles.

Aucun de nous deux parlait.

- C'est bien beau, mais j'avais cours de guitare. Prononçais-je en coupant le silence qui s'était installé.

- J'en ai rien à foutre. Me dit-il en levant ses épaules.

Un soupir s'échappe entre mes lèvres.

- Je pourrais au moins avoir des chaussettes. Demandais-je énervé par la situation.

Il me dévisagea avant de plonger sa main dans sa poche droite. La paire de socquette arriva directement sur mon visage.

- On ne t'a jamais appris les bonnes manières étant petit ! Dis-je en enfilant les chaussettes beaucoup trop grandes pour moi.

- Quel con. Murmurais-je.

Une alarme retenti, celle d'un téléphone, le sien pour être précise.

L'homme prit une bouteille d'eau dans la poche, c'est la caverne d'Ali Baba sa poche, c'est pas possible.

En même temps, il sortit des comprimés, mes comprimés.

Mon cœur rata un battement, seul Stanislas avait accès a eu.

Ce qui veut dire... Que mon propre frère m'a kidnappé ?

Mais il est complètement con celui-là, pensais-je, il a été fini à la pisse pour faire une telle chose, il y a eu un défaut de fabrication, c'est sûr.

- Prend les ! M'ordonne-t-il en me les mettant dans la paume de ma main.

- Ok The Rock.

Ma phrase le fit froncer des sourcils, mais il ne répliqua pas.

J'avais les comprimés avec l'eau et lui redonne la bouteille.

- Bouge tes fesses, quelqu'un voudrait te voir. M'annonce-y-il en sortant de la pièce.

Je me lève et le suit sans parler. Les couloirs étaient larges avec une tapisserie beige.

THE ATTRACTIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant