ÉPHÉMÈRE Tom KAULITZ X [ OC ]

Chapitre 8

Après le dîner, Tom m'a a emmené en ville, il fait nuit mais le centre ville est très éclairé. Les gens discutent et ris entre eux, un il y a meme un musicien qui fait de l'accordéon. Des fans reconnaissent le célèbre guitariste Tom kaulitz et viennent lui demander des photo, d'autre me regardent de travers.
J'ai même pu apercevoir le regard baladeur de Tom.
J'ai attendu que nous nous arrêtions près d'un marchant de glace pour lui faire part de mon mécontentement.

- Eh !

Je me suis positionner en face de lui, les sourcils froncée.

- J'tai vu regarder leurs décolleté.

Je lui assène un crochet au creux de son estomac ce qui lui fait tordre légèrement de douleur.

- Quoi ?

Il ricane.

- Ta vue comment elles sont gâté elles aussi ?
- Pervers. J'te crèverai bien les yeux.
- En attendant utilise tes mains pour autres choses.

Il me tire vers une ruelle sombre où nous pouvons toujours entendre le musicien et danse à l'abris des regards.

Il me fait tourner sur moi meme et je n'ai pu m'empêcher de pouffer de rire.

Sa main droite ce pose sur ma hanche gauche et sa main gauche tient ma main droite.

Il continue de me faire valser jusqu'à ce qu'il me renverse en arrière.
Je balance ma tête en arrière laissant mes cheveux presque toucher le sol puis la relève délicatement pour enfoncer mes yeux dans les siens.

- Tu es magnifique.
- Je sais.

Je souris et profite de son moment d'inattention pour sortir le couteau suisse de mon soutient gorge et le place sous sa gorge.

- Tu es magnifique Kaulitz.
- Je sais.
- Mais sait tu ce qui serais encore plus beau ? Ton corp inerte.

A chacun de mes pas il recule jusqu'à heurter le mur. Je vois sa pupille ce dilater comme si il était sous l'effet d'une drogue. Je place ma main libre près de la tête de Tom sans décoller le couteau de sa gorge mais je reçois soudainement un coup au poignet et mon bras viens ce plaquer contre le mur ainsi que mon dos.

Comme quand nous nous sommes vu pour la première fois, nos places ce son échanger.

A cause de la pression sur le poignet ma main dessers sa prise sur le manche de l'arme blanche et tombe par terre procurant un son métallique.

Tom lâche alors mon bras et vient positionner ses deux mains près de mon visage de façon à me bloquer.

- Tu me rend dingue.

Son visage viens disparaître près de ma nuque et je peux sentir son souffle chaud, ses lèvres viennent ce poser dessus et le metal froid de son piercing au lèvres me procure un frisson.

Il dépose plusieurs baiser sur mon coup et monte petit à petit vers mes lèvres. Arriver au coin, je tourne ma tête pour me dégager de son emprise et il relève soudainement sa tête en souriant.

- Deja fini ?
- Pervers. Ne crois tu quand même pas que je suis tomber amoureuse de toi ?
- C'est pas le cas ?
- Non, tu n'es qu'un parmi tant d'autre. Tu ne m'auras pas aussi facilement.
- J'adores quand tu prend cet air hautaines, surtout quand je sais que c'est faux.

C'est vrai, il ne me laisse pas indifférente. Mais je n'ai pas le droit.

Je me suis dégager de son emprise et me suis diriger vers la sortie de la ruelle.

- Allez, dépose moi.

Dis-je sans me retourner, je le sens sourire derrière moi et le voilà à suivre mes pas sans pour autant me dépasser.

Le trajet s'est fait dans un silence et arriver à l'entrée de ma maison il ce gare, Tom déverrouille ma porte et je l'ouvre, je pose un pied en dehors de la voiture et me tourne vers lui.

- Au fait, comment savait tu où j'habitais ?

Je demande, en souriant.

- On à tous nos petit secret.

Il me fait un clin d'œil et je sors en claquant la portière.
Sa vitre ce baisse aussitôt et il ce penche pour me regarder.

- Bonne nuit mon coeur !
- Plus jamais.
- promis...

Je tourne mon dos et rentre chez moi, la voiture démarre et il disparaît.

Je me précipite pour tout raconter à Mona tout en démaquillant et mettant mon pyjama.

Appel Mona

- C'est dingue ! On parle de Kaulitz là ! T'imagine pas toute les meuf en chien sur lui !

Le problème -
Mona c'est que j'ai
pas le droit, si Franz l'apprend
Je suis fichue.

- C'est le moment de fuir
et de vivre ta love story

T'es drôle-
On me retrouveras
Et c'est mon sang qui
Colorera l'atlantique.

- de toute façon mon père en saura
Jamais rien. Simule sa mort
Et quitte l'Allemagne.

Mmh, bon je vais te laisser, bonne nuit mon coeur-

- Bonne nuit à toi aussi beauté.

Fin de l'appel avec Mona

C'est dur de résonner son cœur quand il s'accroche a ses moindres actions.

Comme je te déteste Tom.
Ô oui comme je te hais
Mais par dessus tout,
Je hais la façon dont tu hante chacune de mes pensée.

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Pauvre Rune </3

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