Mon gamin [Taekook]

🫧Chapitre 26🫧

~Ta langue...~

Jungkook m'embrassait dans mon lit tandis que je n'arrivais plus à suivre le cours de mes pensées.

Décidément, je n'arrivais plus à m'en passer.

Il se mit à mordre ma lèvre encore une fois et je me mit à gémir une nouvelle fois.

Un énième sourire et il prononça.

-T'es mignon.

Un autre baiser.

-Trop mignon.

Les récents événements nous avaient énormément rapprochés. On se voyait tout les samedis et notre discrétion au lycée était absolue. Nous nous parlions toute la nuit au téléphone pour nous revoir 3 heures plus tard en classe.

Je flottais littéralement sur un nuage. Je riais beaucoup avec lui, il me câlinait, me caressait les cheveux et je n'avais ressenti ni culpabilité, ni crise d'angoisse, ni Amanda.

Tout était merveilleux.

J'étais bien, je n'avais plus peur, j'étais en confiance.

Il m'avait mit en confiance.

Peut-être, que tout se finirait bien pour moi. Peut-être que le plan marcherait. Peut-être que personne n'apprendrait jamais pour nous. Peut-être que nous pourrons être libre après le bac de Jungkook.

Peut-être, peut-être, peut-être.

Peut-être.

-Jungkook, j'adore être ici avec toi.

Un regard au dessus de moi et une caresse sur mon visage me répondirent. Des doigts qui traçaient des chemins merveilleusement frais sur mes joues brûlantes.

-Dis moi que tu m'aimes.

Un bon dans ma poitrine pour toute réaction, je répondais.

-Je t'aime.

-Encore.

-Je t'aime.

-Taehyung...

Il me caressait tant des yeux que j'aurai voulu peindre cette image.

-Ma vie est si belle depuis que tu es là.

Il couvrait son visage de ses mains.

-Arrête.

-Si tu savais comment se passaient mes soirées dans cette chambre avant que tu ne sois là.

Il me refit face tristement.

-Je le sais, je l'ai vu.

Il faisait très certainement référence à sa première venue chez moi.

Il me caressa la joue.

-Comment vas-tu à ce niveau ?

C'est du passé pour moi maintenant. Il est avec moi et ne me laissera plus jamais seul.

-Ca va.

-Tu es sûr ?

Je hochais la tête.

-Tu sais, c'est à ce moment là que tu as commencé à vraiment compter pour moi.

Je redescendais sur terre suite à cette phrase.