Prisonnière De L'Alpha [Terminé]

Comme d'habitude.{ Réécris}

Comme chaque fin de semaine on n'a une petite évaluation sur le
programme de la semaine.
De mon point de vue c'est très facile mais le regard perdu de la plupart de mes camarades commence à me faire penser le contraire.

Ça fait quoi déjà 1h que j'ai finis mon épreuve, j'ai envie de sortir mais si je le fais je vais attiré beaucoup de regard sur moi et ça va tuer mon envie de rester le plus discrète possible.

Etant de peau noir j'évite au maximum de me faire remarquer parce que la plupart des étudiants de cette école sont méprisant face à la couleur de ma  peau noir .

J'ignore si c'est du racisme où juste de l'empathie naturel mais bon j'essaie de ne pas y faire attention pour ne pas avoir mal .
Parfois leur regard sont méprisants et emplie de ce que je suppose être de la haine . Contre moi où pas .

Je n'imaginais pas que changer de ville ou même de pays pouvait être aussi frustrant.
Heureusement, il me reste mon incroyable kaniel .

Je me laisse aller encore une heure à mes pensées avant de me décider à déposer ma fiche de composition sur la table du professeur pendant que mes camarades me fixent. Je crois que l'ennui de ne rien faire a fini par l'emporter.
Je sors sans me retourner pour tomber sur Kaniel qui discute avec Olivia, une fille qu'il a rencontrée dans son cours de biologie.

- "Comme d'habitude, tu as fini avant tout le monde, toi!!!

- Eh oui, j'y peux rien si c'est trop facile!

- Intello!!!!

- Fier de l'être 😌😌😌. Nous éclatons de rire en marchant vers la cafétéria.

- J'ai vraiment faim les gars!!!!! Hurle Olivia en marchant plus vite vers les cuisinières.

- Du calme, le ventre sur patte, on n'a le temps. Rigole Kaniel en se moquant de son amie.

Je me contente de les observer en riant.

Olivia est une fille superbe aussi bien physiquement que mentalement. Elle adore lire, écrire et rêver, ce qui a facilité la naissance de notre belle amitié.

Elle est toujours de bonne humeur et surtout affamée. En plus, sous ses airs de grande débile, elle est d'une intelligence à couper le souffle. Elle sait se montrer aussi sérieuse que rieuse et je l'admire pour ça.

- devancée moi et prennez moi un amburgeur, je passe par la salle de biochimie et j'arrive.

En marchant dans les couloirs j'ai finis par croiser cet imbécile de Ray .
Je vous explique, Ray n'est rien d'autre qu'une sale gosse plein au as qui adore me faire chier dans tout les sens du terme.
Il est dans la faculté d'ingénierie et j'ai l'impression que là-bas ils ont constamment du temps à perdre.

- hé gamine,Ça fait un bail, Je t'ai manqué ?

-non pas vraiment, tu peux me laisser passer ? Tu n'aurais pas un moteur ou un truc du genre à construire ?

- T'embêter est bien plus excitant tu sais, et si tu venais avec moi dans la cour arrière que je te montre ce que j'aimerais faire ?

Je le sens très mal. À chaque fois  qu'il parle de cours arrière je me fais trainer dans les douches de la salle de piscine ou il ne font que me verser de l'eau froide dessus. Il prennent même des brosses à cheveux sur lequel ils mettent du savon pour ensuite les utiliser pour les frotter sur ma peau .
Ils disent qu'en le faisant assez souvent ils finiront par la rendre blanche.
Ce qu'ils font est douleureux et méchant, à chaque fois ils vont de plus en plus loin et font de plus en plus pire . Cette fois j'ai peur car il m'a laissé tranquille pendant ces deux dernières semaines.

Je commence à paniquer et  fais demi tour pour pouvoir les éviter mais comme d'habitude, il ne sont pas que 3 mais 6 et m'entraînent avec eux.

Je me débat comme je peux mais ça n'arrange rien .
Nous arrivons là et il verse de l'eau de javel dans un seau rempli d'eau.
Après m'avoir débarrasser de mon sac il se mettent d'abord à me tourner autour avec ce même regard animal et sauvage , puis  me verse le mélange sur la tête.

J'ai envie de pleurer, je pourrais me sortir de là en invoquant mon protecteur mais si je le fais venir il ne partira plus et peut être que les gens ici me trouveront encore plus bizarre.

Mes larmes coulent toutes seules faces à leurs rires et leurs moqueries.
Ils sont persuadés que la javel me lavera de tout cette noirceur.

Je pleure car je ne peux me défendre, je pleure parce que je souffre mais surtout je pleure parce que c'est injuste.

Alors que mon espoir de retourner en paix chez moi s'envole, un aîné qui fait partie de l'équipe de natation nous repère et ces salauds se sont enfuis.

Il m'a alors pris dans ses bras et j'ai laissé libre cours à mes larmes. J'étais dévasté.
Encore une fois humilié par ces imbéciles.
Et encore une fois sauver par Ce inconnu Lucien .

- ils t'ont encore fait du mal...

- SNIF ....SNIF...oui....

-je suis arrivé encore trops tard je suis désolée......il faut qu'on n'en parle au délégué général des étudiants.

- non c'est pas la peine, ça ne fera qu'empirer la situation.

- mais..... Tu ne peux pas continuer de subir sans rien faire.

- je sais. Je vais trouver une solution ne t'inquiètes pas.... merci de t'inquiéter.

Je termine d'enfiler des vêtements propres pendant que Lucien attend derrière la porte .

- Prochainement si tu le croise Envoi moi un message ou appel moi je viendrais t'aider.

- D'accord merci beaucoup.....

Un câlin doux et réconfortant. Lucien a une personne calme, c'est une personne généreuse et gentil . Des mon arrivée ici il m'a accordé toute sa gentillesse et sa bienveillance.

J'avais besoin d'évacuer, de me calmer et penser à autre chose.
Je rejoins donc les autres à la bibliothèque.
Pendant que Kaniel et Olivia travaillent sur leur projet,je parcourais simplement les livres dans l'espoir de trouver mon bonheur."

Un livre énorme et coincé, non plutôt caché entre deux gros livres, attire mon attention. Curieuse, je le  récupère. Il est poussiéreux et dans un état lamentable, puisque certaines pages ne tiennent plus en place.

Après l'avoir convenablement nettoyé, on peut voir inscrit au-dessus : "My life in wolfs country ".

Du peu de contenu que j'ai déjà parcouru, je peux dire que ce livre parle de loups-garou trop sexy avec lequel aurait vécu l'auteur.
Elle le décrit comme parfait et sans aucun défaut, si ce n'est la jalousie et la possessivité.

Cette histoire me fait sourire, car elle parle d'un bonheur parfait et inégalable. Ce que je n'ai jamais connu

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