Le brun descendit de sa voiture au parking et marcha vers l'ascenseur. Il appuya sur le bouton et les portes s'ouvrirent, il s'y engouffra cependant, alors que les portes se refermaient, il entendit quelqu'un qui criait pour qu'il bloque les portes alors il posa son pied qui empêcha la fermeture de l'habitacle. Une jeune fille se retrouva devant lui quelques secondes plus tard, essoufflé—Merci....., elle leva la tête mais la vue qui s'offrit à elle la laissa bouche bée. Elle resta là, la bouche ouverte, arrêté devant l'ascenseur, a admiré le spécimen si attrayant devant elle.
—Heeeuuu....vous venez ? C'est pas tout mais mon pied commence à fatiguer !, dit-il souriant de tout sa blancheur, la tirant ainsi de sa contemplation. Elle rougit, balbutia une excuse et monta s'arrêter à ses côtés et enfin l'appareil put se mettre en marche. La fille n'osait pas le regarder et s'était tant mieux. Il ne voulait pas à avoir à lui dire qu'il......
Le ding de l'appareil lui rappela qu'il était arrivé et sortit sans même laisser le temps à cette fille de lui dire ce qu'elle était sur le point de vouloir lui dire.
Habillé d'un patanlon noir, chemise de couleur blanche, quelques boutons non fermés dévoilant sa poitrine musclé, une chaîne dont le medallion tombait pile entre les deux pectoraux, il arriva dans ces bureaux où tous les regards se tournèrent vers lui. Il salua tout le monde et alla s'asseoir directement et se plaça devant son ordinateur. Il vit tout de même quelques enveloppes qu'il prit soin d'empiler à côté. Il commença à travailler quand il vit son ami s'approcher de lui.
—Alors monsieur le tombeur, prêt pour ce soir ?, dit-il en se cognant accidentellement au siège du brun avec le sien.
—Fais attention, jin....!,prévint-il avec un ton mi-inquièt, mi-amusé, et se tourna vers lui
—Désolé...., rit le châtain
—Pour répondre à ta question, oui je suis prêt, je lui enverrai une invitation plus tard dans la journée, et puis, j'ai une course à faire dans la soirée alors j'irai un peu plus tôt à la maison !, il se concentra sur son travail.
La journée se déroula sans accroc, passa vite entre les graphiques qu'il devait gérer, le bavardage de jin et les quelques fois, son supérieur était venu. Quand il eut finit, il se leva, rangea son bureau et s'en alla.
Après sa course, et qu'il ait fini de se préparer pour son rendez-vous, il se rendit au restaurant. Une fois arrivé, il s'arrêta et vérifia méticuleusement l'endroit à travers les vitres. Il la vit assise dans un coin, un verre de champagne à la main.
—Bon, quand il faut y aller !, il rentra et se dirigea vers elle. Il s'arrêta juste à côté d'elle en la saluant mais elle se leva et posa ses lèvres sur les siennes, il répondit assez chastement et s'assit en commençant à demander des banalités.
—Ça été ta journée ??, elle répondit par l'affirmative.
Le brun la regarda et elle lui sourit. Il était flagrant qu'entre eux, il n'y avait aucune alchimie ou étincelle, aucune personne extérieure ne pourrait croire qu'une relation amoureuse liait ces deux personnes, et pourtant, cette fille, il sortait avec elle depuis six mois cependant il était temps qu'il mette fin à cette soi-disant relation ce soir car comment dire, tout était froid et sec, même la chaleur de leur moment d'intimité ne brûlerait même pas un moustique. C'etait alors dans cette optique qu'il l'avait invité dans ce magnifique restaurant. Le temps avait passé depuis qu'ils s'étaient rencontré et pourtant, il ne ressentait toujours pas cette sensation dont il était à la recherche. Il pouvait à peine dire qu'il appréciait cette fille. Elle était jolie mais n'avait pas ce qu'il cherchait.
Le brun, nommé jungkook, était quelqu'un qui était grand, beau, séducteur et surtout un grand coureur de jupon invétéré mais cela était juste l'image qu'il renvoyait à son entourage. En réalité, c'était plutôt quelqu'un qui cherchait l'amour, sous sa plus belle forme mais qui peinait à le trouver.
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Him-éros ¡Jikook!
FanfictionÉtant à la recherche de l'amour, de manière maladroite mais tout de même sincère, jungkook avait rencontré plusieurs types de personnes mais des comme lui, jamais. Il représentait à lui seul, le contraire de tout ce à quoi le jeune brun avait toujou...