Chapitre 3

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Alexio

La semaine passa bien plus vite que je ne l'aurais voulu. Il était neuf heure et demi quand je me levais en ce samedi matin. Si ma chère mère mettait bien ses menaces à exécution j'aurais un vieux professeur puant et suant qui aller ce pointer aujourd'hui.

Je sortais de ma chambre pour rejoindre ma famille au rez-de-chaussée. Je prendrais une douche plus tard pour le moment mon estomac crié famine. Je ne m'arrêter pas au salon tout de suite, me dirigeant à la cuisine préparé mon petit déjeuner. J'allais ensuite au salon où se trouver les trois autres occupants de cette maison.

- Bonjour. Dis-je à l'assemblée d'une voix encore endormi.

- Bonjour Fiston ! Tu as bien dormi ? Demanda mon père qui buvait un café devant son ordinateur.

- Ouais.

Je m'installer dans le canapé, m'assurant de ne pas m'approcher trop de ma génitrice qui était occupée à regarder les infos du matin.

Depuis Lundi c'est à peine si on se disait bonjour, elle se comporter vraiment comme une gamine ces derniers temps. Je me demandais qui était l'ados de la maison entre elle et moi.

- Ton professeur sera là à 14h.

C'est la seule chose qu'elle me dit. Bonjour l'ambiance. Je manger mes céréales soupirant à l'idée de devoir passer mon après midi avec une haleine putride. Je finis rapidement mon bol et remonter aussitôt dans ma chambre. Hors de question de gâcher mon temps. J'allumais la console et faisait ce que je savais faire de mieux. Jouer.

Lorsque 14h pile pointa sur ma montre, j'entendis ma mère crier du bas des escaliers.

- Alexio ! Ton professeur vient d'arriver.

Merde !

Je sautais sur mes pieds, observer ma tenue qui ne comporter qu'un boxer et choper rapidement un short et un t-shirt puis filer salle de bain. Je retiré mon boxer actuel, et pénétré sous le jet d'eau brulant.

- Putain ! Fais chier saleté de robinet !

Quelques minutes s'écoulèrent puis ma mère toqua à la porte.

- Alexio, ton professeur t'attends dans ta chambre, dépêches toi. Puis tu me feras le plaisir de ranger ta chambre demain, c'est un bordel et sa pue le fauve dedans.

Je soufflais rassuré qu'elle ne me gronde pas pour une fois et finissais de me laver. Qu'est-ce que ça pouvait lui faire que sa pue dans ma chambre. Elle y mettait plus jamais les pieds de toute manière.

Mon t-shirt colla à mon dos trempé, je sortis de la salle de bain et m'arrêter devant la porte de ma chambre. Après une grande inspiration puis expiration j'entré.

Mon regard tomba directement sur le professeur. Ce n'était pas du tout un vieux déchet grisonnant et puant de sueur. C'était le gars de la soirée du week-end dernier.

Tobias

Lorsque je rentrais chez moi ce soir là je me sentais vider. J'avais accepter l'invitation de Joséphine dans l'espoir de me changer les idées et bien c'était chose faite. Je n'avais plus qu'une seule pensée à cette instant et c'était lui. Alexio.

La première chose que j'ai vu en entrant chez eux c'était lui à quatre pattes dans le couloir son fessier tourner vers moi. Puis lorsqu'il s'est tourner, mon cœur avait fait un saut périlleux dans ma poitrine. Je mettais perdu dans ses yeux bleue orageux.

Professeur un peu trop particulierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant