Chapitre 12

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Tobias

Je l'avais pris par la main et emmener jusqu'au lit, j'observais chacune de ses réactions.

Il avait frissonner quand j'avais pris sa main. C'est une bonne chose.

Je l'avais pousser sur le lit. Il avait rougit.

Je m'étais positionner au dessus de lui. Il avait trembler.

Je m'étais pencher sur son visage. Il avait fermer brusquement les yeux agrippant le drap.

Je m'étais affaler sur le côté, remonter la couverture et attiré contre mon torse. J'avais senti des goutes tombé sur ma peau désormais nu. J'avais resserré ma prise sur sa taille.

- Plus tard Alexio... Dors... avais-je dis en caressant ses cheveux blonds.

Sa respiration c'était apaisé et son corps était plus lourd sur mon torse. J'attraper mon téléphone et envoyer un message à Joséphine.

Il est avec moi. Patrick l'a brisé. 23H06

Mon téléphone vibra quelques secondes après.


Il l'a... il l'afait ?!! Oh non !!! Non !!! 23h07

J'hésitais un moment à lui dire que oui, que c'était sa faute, qu'elle devrait avoir honte. Mon petit blond remua contre moi. 

Non... Il ne voudrait pas ça.

Il n'a pas eu le temps d'aller jusqu'au bout, à vrai dire je pense qu'il n'a réussi qu'à l'embrasser de force. Mais ça a été suffisant pour le traumatisé. Je le garde ce week-end. 23H08

Je suis désolée... S'il te plait Tobias... Ne lui dis rien... 23h08

Lui mentir ?Je ne suis pas sûr que j'étais capable de lui mentir, pas sur ça. Je ne répondais rien à Joséphine, j'aviserai sur le moment. Je caler mon téléphone sous mon oreiller et me tourner vers Alexio, l'encerclant de mes deux bras et humer ses cheveux.

Mon cœur battait tellement fort dans ma poitrine.

- Bordel... Tu me fous quoi toi... dis-je m'adressant à mon organe vitale.

Alexio

J'ouvrais les yeux et tomber sur un torse ferme. Je souris à cette vision, mais le perdit rapidement en repensant aux raisons qui m'ont amener chez lui.

J'ai joué à un jeu dangereux avec le crétin, j'en paie les pots casser. Tobias lui a bien arranger sa tronche en tout cas.

Est-ce que j'ai envie de laisser cette histoire gâcher ma vie ? Non. Clairement non.

J'espérais ne jamais le recroiser, il faudrait que je parle de cette histoire à ma sœur, même si elle me faisait la gueule puisqu'elle ne m'a pas dit un mot de la semaine.

Je soupirais, quel bordel !

La respiration du brun me tira de mes pensées, il remuait. Est-ce qu'il allait bientôt se réveiller ?

 Une main remua sous la couverture. Je la soulever et observer sa main se faufiler dans son propre caleçon. Mes joues chauffèrent et je me mordiller les lèvres. J'avais une vue direct sur son pénis alors qu'il se gratter les couilles. 

J'avancer ma main timidement, caressant son torse du bout des doigts. Je l'entendis gémir et remuer, je stopper tout.

Les pulsations de mon cœur accéléré. J'attendis quelques seconde et recommencer à caresse son torse, approchant du duvet de son pubis. Il grogna et remua encore.

Professeur un peu trop particulierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant