Fille d'un autre monde - Livre I

26- Le Magicien Blanc

Nous galopions jusqu'à la fumée indiquais par le Rohirrims. Il y a avait en effet un tas de cadavres puant. Gimli essaya de fouiller dans le bucher et trouva un morceau de ceinture. Aragorn regarda avec horreur et désespoir le bout de cuir. Il tapa violemment dans un casque et lança un cri de rage.

- Nous avons échoué. Dit Gimli.

Nous n'osions pas parler, la peine d'avoir perdu deux camarades de plus était trop grande. Je pensais à Gandalf, si il était là avec nous, nous aurions put surement empêcher ce drame. Mon esprit ce tourna vers Tianna. Allait-elle bien ? Allez – je seulement la revoir un jour ? Peut -être que l'alliance avec l'autre monde était inutile ?

Je fus interrompus par Aragorn :

- Les hobbits étaient là, dit-il en touchant le sol. Ils ont rampaient.

Je sentais dans sa voix de l'espoir.

-Leurs mais étaient liés.

Il avançait au fur et a mesure de ses paroles, j'étais sceptique mais nous le suivions. Il trouva alors une corde nettement coupé.

- Leurs liens ont été coupés.

Aragorn avait raison, les hobbits n'étaient peut-être pas mort.

- Ils ont couru jusqu'à .... la forêt de Fangorn.

Nous étions restés à l'orée. Quelque chose ici ne m'inspirait pas confiance.

- Quel folie les as conduits là ?

Nous nous regardions inquiet.

- Allons- y ! Si nos amis sont là dedans il faut les aider, dit Aragorn en s'enfonçant dans les bois.

Je le suivais sur mes gardes.

Cela faisait deux petites heures que nous étions là, dans ces bois ténébreux. Gimli s'approcha d'un buisson. Il goutta le liquide répandue dessus.

- Pouah ! Du sang d'orques.

Des orques avait donc pénétré avec les hobbits.

- Je sens que l'air est lourds ici continua Gimli.

- Cette forêt est vieille, très vieille. Pleine de souvenir et de colère.

Un bruit retentit.

- Les arbres ce parlent entre eux, constatais-je étonné.

Cela faisait longtemps que je n'en avais pas entendu. Cela me fit une drôle d'impression. Gimli était paniqué et brandissait sa hache.

- Gimli abaissait votre hache , conseilla Aragorn

Je me retournais vers lui

- Les arbres ont des sentiments mon ami et cela grâce aux elfes, ils ont réveillés les arbres, ils leurs ont appris à parler, lui explique ai-je.

Il me regarda moqueur.

- Des arbres qui parlent et puis quoi encore, les arbres de quoi est ce que as parle hein ? À part de la consistance des crottes d'écureuils.

Un bruit similaire au premier retentit.

Nous nous déplacion encore quand je sentis une présence.

- Aragorn quelque chose est là, dis-je en me précipitant vers l'endroit de la présence, suivit d'Aragorn.

- Que voyez vous ? Me demanda t-il

- Le magicien blanc approche.

Je me tournais vers lui. Nos regards était sévère nous savions ce que cela signifiait.

- Ne le laissons pas parler il nous jetterait un mauvais sort, informa Aragorn.

Il sortit son épée, j'entendis Gimli serait sa hache quant a moi je mettais une flèche sur mon arc prêt a décocher.

-Il faut faire vite, murmura Aragorn .

Un éclair blanc apparut et aucune de nos attaques ne le touchèrent. L'éclat blanc m'éblouissait je ne voyait rien. Une voix retentit.

- Vous êtes à la recherche de deux jeunes hobbits.

- Où sont-ils cirait-je ?

- Ils sont passé par ici avant hier, ils ont fais une rencontre à laquelle ils ne s'attendaient pas. Est-ce que cela vous rassure ?

- Qui êtes vous ? Demanda Aragorn formulant à haute voix la question que je me posais depuis longtemps.

Le faisceau de lumière blanche disparut et je vis Gandalf. Étais- ce possible ? Il état mort. Un tour de Saroumane ?

Pris de culpabilité je m'agenouillais.

- Pardonnez moi, je vous est pris pour Saroumane.

- Je suis Saroumane, où plutôt Saroumane tel qu'il aurait du être.

-Mais vous êtes tombé, dit Aragorn consterné.

- A travers le feu et l'eau, du plus profond cachot au plus haut sommet je combattis le Morgot. Jusqu'à ce qu'enfin je put jeter à bas mon ennemi qui alla sur le front de la montagne. Les ténèbres m'entourèrent et je m'égarais hors de la pensée et du temps. Les étoiles tournées au-dessus de moi et chaque jours étaient aussi long qu'une existence sur la Terre. Mais ce n'était pas la fin. Je sentis la vie revenir en moi. Je fus renvoyer jusqu'à ce que ma tâche fus accomplis.

- Gandalf. Dit Aragorn qui n'en croyais pas ses yeux.

- Gandalf ? Oui, c'est ainsi que l'on m'appeler, Gandalf le Gris c'était mon nom.

- Gandalf, répéta Gimli pour confirmer.

- Je suis Gandalf le Blanc et je reviens vers vous en ce moment décisif.