Fille d'un autre monde - Livre I

18- Mines de la Moria

Le lendemain, ce fut Legolas qui la réveilla. Elle remarqua alors que quelqu'un lui avait soignée ses doigts et lui avait mis des bandages.

- Nous nous dirigerons vers les mines de la Moria, déclara Gandalf.

Et la compagnie repartit. Une semaine passa avant qu'ils n'arrivent devant les portes de la Moria. Les plaies de Tianna avaient cicatriser mais la faisait souffrir. Éreintée par la route, elle s'assit sur une pierre.

- Voilà où ce trouvaient les portes elfiques, dit Gandalf en désignant la roche devant lui.

- Je ne vois rien, il n'y a rien Gandalf, ce plaignit Pippin.

- Non, la porte est cachée attendons un peu.

- Attendre quoi ?

La lune apparut alors et un rayon de lumière vint éclairer un endroit de la paroi qui s'illumina et révéla une grande porte. Des écritures elfiques apparurent. Je fus ébahit par la beauté du spectacle.

- qu'est ce qui y est écris ? Demandais-je.

- Il est écris : Les portes du Durin, seigneur de la Moria. Parlez ami et entrez.

- Qu'est ce que cela veut dire ? Songea Merry a voix haute.

- C'est très simple, si vous êtes un ami vous donnez le mot de passe et les portes s'ouvriront.

- Connaissez vous le mot de passe Gandalf ? Demanda Boromir.

- Je vais le retrouver.

Il essaya plusieurs incantation mais aucune ne marcha. Cela allez prendre plus de temps que prévue. L'elfe blond me rejoignit.

- comment te sens tu ?

- Exténuée.

Un silence ce fit. Tianna trouvait cet endroit louche. Malgré la pale de la lune, tout était sombre, l'endroit empesté le moisi et l'étendue qui ce trouvait devant elle lui faisait peur.

- Je ne me sent pas bien ici,pourvu que Gandalf trouve vite le mot de passe.

- Moi aussi, il y a quelque chose dans ces marais qui ne nous veux pas du bien.

Ils entendirent alors un plouf et virent Pippin jetait un deuxième cailloux.

- Ne fais pas cela ! Laissez cet écran tranquille, s'exclama Frodon.

C'est alors que les portes s'ouvrirent et que des bulles commencèrent a apparaître a la surface de l'eau.

Je n'aime pas sa du tout, dis je en me dirigeant vers l'entrée des mines. Tout le groupe était rentrée quand je sentis quelques choses de visqueux s'accrochais à ma cheville et me tira en arrière. Je criais et essayais de me débarrasser de la tentacule en lui assenant des coups d'épée. Malheureusement quand enfin je la coupais, j'étais déjà au bord de l'eau et une autre m'attrapa. J'essayais de la couper en vain, m'enfonçant de plus en plus dans les abysses. L'air me manqué. j'avais l'impression que ma tête allez exploser et je perdis connaissance, lâchant mon épée dans l'eau.

Quand je reprit connaissances j'étais dans une grande salle noir, Legolas et Aragorn mouillés étaient penchés au dessus de moi, l'air inquiet. J'essayais de leur sourire et me relevais. Mes poumons me brulaient.

- Comment te sens tu ? Demanda Aragorn. As tu mal quelque part ?

- Non, je ...qu'est ce qu'il c'est passé ?

- Tu as été emporté par des tentacules et ....et puis..une lueur bleu a jaillit et a disons ..tuer la bête. Aragorn et Legolas ont suivit la lumière et vous on ramenez ici avant que cette partie du mur s'effondre pour une raison inconnue, répondit Sam chamboulé.

Je touchais la pierre bleu et me brulait. Je vis alors Gandalf me regardait curieusement. Mais il passa vite a autre chose.

- Bien maintenant il nous est impossible de battre en retraite. Avançons dans l'autre salle.

- Oui ! j'ai hâte de revoir ce cher Balin, dit Gimli en prenant les devants.

Ils entrèrent alors dans une salle avec des escaliers et au dessus un grand trône. Gimli parlait, vantant les mérites de l'accueil des nains auprès de Legolas :

- Bientôt maître elfe vous allez pouvoir apprécier l'hospitalité légendaire des nains, un bon feu, une bière brassé, une belle pièce de viande car ceci mon ami est la demeure de mon cousin Balin !

Gandalf intensifia le faisceau de lumière.

- Et ils appellent sa une mine ! s'insurgea Gimli.

Je marchais alors sur quelque chose qui craqua sous mes pieds. Je vis avec horreur qu'il s'agissait d'un bout d'os.

- Ceci n'est pas une mine mon ami, dit alors Boromir, mais un tombeau.

Il prendit a la vue de tous un crâne.

- Noon, cria Gimli se précipitant d'un bout a l'autre de la salle.

Gandalf le regarda faire pendant cinq minutes puis d'une voix forte et autoritaire :

- Gimli ! Reprenez vous ! Nous allons guider nos amis au travers de cette mines. Soyez prudent !

- Combien de temps cela nous prendra ? Demandais-je alors.

- quatres ou cinq jours tout au plus. Répondit le magicien en repartant.

Suivis des hobbits et de Boromir. J'allais avec eux et Legolas ferma la marche.

Bonne rentrée à tous !