CHAPITRE 2. Joyeux anniversaire !

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Attention, les choses sérieuses commencent !


;)





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Il est 19 h 30 et c'est mon anniversaire, j'ai eu 18 ans ma mère travaille toute la soirée (elle travaille en hôpital et est de garde ce soir) alors, elle m'a fait profiter de la journée en m'emmenant faire les magasins malgré le peu d'argents que nous avons.

Elle s'est toujours arrangée pour me faire plaisir et je lui en serais éternellement reconnaissante. Nous habitons dans un petit cartier de New York dans un petit appartement avec juste ce qui nous faut pour vivre soit deux lits, une cuisine et ce qui ressemble de près ou de loin à un minifrigo plus ou moins rempli.

J'ai donc décidé de sortir manger au restaurant ce soir, car, même si je n'ai pas d'amis et que ma mère n'est pas là, je ne me prive pas de sortir seule pour faire des choses que j'aime.

J'avoue que dans ces moments la je me dis que si j'étais moins conne je pourrais-être passer une soirée avec des amis mais bon je suis trop borner pour sa.

Je n'ai absolument pas peur des ivrognes qui se baladent le soir dans les rues en demandant des numéros à tous ce qui bouge, car je sais me défendre grâce à mon père.

C'est bien la seule a chose pour laquelle je lui suis reconnaissante, il aura servi à rien d'autre.

J'ai enfilé une robe noire en satin avec un décolleté plutôt vulgaire, je dois bien l'admettre, ainsi qu'une paire de talons tout aussi noire que ma robe et un petit sac à main toujours noire.

Je me maquille pas beaucoup parce que j'aime plutôt bien ma tête au naturel, mais ce soir, j'ai bien envie de faire une petite exception. Je fonce vers la salle de bains et attrape le peu de maquillage que je possède.

Je commence par appliquer un peu de blush et mets une fine couche de mascara, je finis avec un gloss brillant légèrement rouge et mets du parfum. En sortant de mon appartement, je remonte la longue rue qui longe mon cartier pour récupérer le taxi que j'ai appelé 10 min plus tôt.

La grande rue n'est pas très éclairée, mais je n'ai pas peur, je dois bien avouer que ça faisait un moment que je n'avais pas pris un peu de temps pour moi et ça me fait du bien de me retrouver un peu seul.

Souvent quand je me retrouve face à mes pensées, comme maintenant, je regrette de pas avoir de vrais amis sur qui compter et à qui parler quand ça ne va pas, même si je sais que je n'en parlerais pas parce que je suis pas très douée pour ce qui est de montrer ce que je ressens.

Oui je me répète je me suis fait la même réflexions deux minutes avant. Et ?

Je me demande aussi ce que ça fait de recevoir l'amour de son père, quand j'étais petite, je détestais voir le peu de copines que j'avais sauté dans les bras de leurs papas à la sortie de l'école alors que moi, je rentrais seul parce que maman travailler et papa était complétement bourré sur le canapé.

Sympa.

Un bruit fort me sort de mes pensées, je reconnais tout de suite le bruit d'un coup de feu (merci papa encore une fois)

Finalement il était peut être pas si inutile que sa?

je regarde autour de moi, mais rien. Je continue alors de remonter la rue sans me soucier de ce qui a pu se passer, il ne me reste pas beaucoup de temps avant d'arriver au bout de cette interminable allée alors, je décide d'accélérer un peu. En arrivant devant une petite ruelle, j'aperçois au loin une ombre traverser l'allée, on dirait bien un homme, il a l'air grand et plutôt muscler. 

- Il y a quelqu'un ? Demandais-je. Est-ce que je peux vous aider ?

  Rien. Personne ne répond. 

Évidemment, à quoi je m'attendais. Je devrais réfléchir un peu plus souvent.

Je n'ai pas peur, mais j'ai un mauvais pressentiment. Je m'empresse alors de rejoindre le bout de la rue quand une main m'attire par la taille et me tire vers une rue sombre, sans lumière. Que se passe-t-il ? Pourquoi je ne débat pas ?

Purée mais Iris réagit un peu non ?

  D'un coup, je sors de ma trans et enfonce mes ongles dans les bras de cette mystérieuse personne qui vient de me tirer dans cette rue.

- Putain, mais t'es vraiment conne toi !

Euh sérieux ? Genre je suis conne de me débattre à cause d'un inconnu qui m'a attraper dans le plus grand des calmes ?

Alors que j'ai à peine le temps de me retourner pour tenter de fuir, je me rends compte qu'il s'agit de l'ombre que j'ai aperçue tout à l'heure. Je n'ai pas plus de temps pour réfléchir qu'il m'attrape une deuxième fois et me met dos à lui, contre son torse imposant, et plaque sa main contre ma bouche en m'empêchant de bouger.

Décidemment, il veut plus me quitter.

Y'a vraiment qu'a moi que ce genre de choses arrive .

Je l'entends murmurer à mon oreille, 

– Surtout ferme ta gueule et fais-moi confiance, t'a pas intérêt à bouger si tu veux sortir d'ici vivante, j'espère que c'est bien claire princesse.  








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Je laisse que ces deux chapitres pour les moments histoire de pas flop jusqu'au bout ptdr.

Alors un deuxième avis sur notre petite Iris ? Perso, j'aime bien :)

Des idées pour ce qui va se passer ensuite avec ce petit inconnu ??

A bientôt gros Bisous je vous aime !!!

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