PDV: Kaiden une heure plus tôt
Mexique
Juarez- C'est quand que tu vas laisser ton ego de côté et te mettre dans ton putain de crâne que c'est tout simplement impossible de gagner seul.
Je serrai les poings sur mon bureau et sans perdre juan des yeux je me levai de ma chaise.
- Et donc selon toi, je devrais faire amis avec ceux qui ont foutu la merde dans nos affaires sous prétexte que j'ai les Américains sur le dos -
Il se détourne légèrement le regard en riant jaune.
- Tu es prêt à tout foutre en l'air parce que tu n'aimes pas revenir sur tes paroles mais c'est ta faute si maintenant tu as les Américains conte toi.
- Et donc tu suggères que j'aurais dû la laisser avec eux
- Non tu as bien fait de la reprendre mais tu ne peux pas agir comme s'il ne s'était rien passé. C'est cruel mais ils avaient le droit de la prendre elle était à eux et tu leur as pris.
Je soupire bruyamment. Ça m'énervait. J'étais terriblement agacé. On était carrément piégé et même si ça me tuait de l'admettre Juan avait raison. Il m'est impossible de m'en sortir si je ne m'allie pas au réseau des Maldives. C'est impressionnant qu'une si petite île ais autant de pouvoir sur notre trafic.
- Nate t'attend pour signer le départ des marchandises vers l'Espagne.
Il secoua la tête lentement, le sourire aux lèvres.
- Tu peux fuir aussi longtemps que tu veux mais un jour tu te réveilleras et ce jour-là tu auras déjà tout perdu. Sur ce, il tourna les talons et sortis de mon bureau.
Je me rassis lourdement sur mon fauteuil et pris ma tête entre mes mains. Je refusais catégoriquement de m'allier aux Maldives, mais je suis conscient que je ne pourrais pas me battre seul contre les Américains. Nos trois réseaux sont puissants et si une guerre explosait entre nous, le massacre serait énorme.
Trois coups à la porte me coupèrent à mes réflexions. Je repris une posture confiante en informant carter qu'il pouvait entrer. Carter était chargé de gérer les entrées et les sorties des personnes dans le bâtiment.
- Quelqu'un demande à vous voir.
- Bien. Dites-lui de monter.
Aussitôt dis aussitôt fait. Il disparut dans le couloir et c'est deux minutes plus tard que deux nouveaux coups contre la porte, plus fort cette fois-ci, se firent entendre.
- Entrez
Je ne relevais pas le visage immédiatement de mes papiers. Histoire de montrée qu'ici c'est moi qui dirige les conversations.
- Où est-elle ?
Cette voie, je la reconnaissais.
- Jack Everdeen, ravis de te revoir.
- Où est-elle ?
Ça voix, enrouée par la cigarette me donnais des envies de meurtres. Qui peut bien supporter de l'écouter plus de dix minutes. En voyant qu'il avançait d'un pas vers moi, je levai la main dans sa direction et terminai de signer un dossier. C'est seulement quand j'eus fini que je l'autorisai à plonger ses yeux rougis dans mes beaux yeux.
- Je t'avoue que je ne pensais pas te revoir avant longtemps.
- Et bien surprise. Je suis là et je ne repartirais pas sans ma fille.
- Ta fille ? Depuis quand la considères-tu comme tel ? Je ne lui laissai pas le temps de répondre. Tu vois, je suis étonné que ce soit la première chose tu me demandes, j'aurais pensé que tu étais là pour la drogue qu'on t'a prise.
VOUS LISEZ
Dernière Danse ( EN PAUSE )
RomanceJune Everdeen beigne seule dans la terreur depuis le jour où elle a ouvert les yeux. Pourtant une nuit comme les autres a Los Angeles alors qu'elle était prête à en finir un groupe de garçons rentrer par effraction chez elle et l'arrache de son malh...