36. Un bon diné ou pas..

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je suis en route, je pensais être confiante mais je n'y arrive pas, j'ai toujours cette boulle dans mon ventre qui refait surface, elle est là depuis que je suis partie de New York et ont se demande bien à cause de qui. J'ai mis la musique Back to Black le volume à fond, j'allume une cigarette et ouvre ma fenêtre sur l'autoroute. Je chante, je hurle, l'extase et la peur coulent dans mes veines. Après un court trajet j'arrive sur le parking du restaurant, j'éteins le moteur et sort de la voiture; je monte les marches qui mènent à l'endroit où je vais manger ce soir, on m'ouvre la porte, je remercie le portier et scrute la salle afin de trouver mon cavalier de ce soir, la musique chic caresse mes oreilles et l'odeur de la nourriture chatouilles mes narines, après avoir cherchée je vois un homme ce lever et de tourner vers moi.

trouvé !

je m'approche de lui et le salut

- bonsoir. je commence

- bonsoir Mme. Smirnov, me répond t'il en me faisant la bise

il m'autorise à m'assoir en face de lui, il est près à tirer ma chaise pour que je puise m'assoir mais je lui dis de ne pas s'embêter, il m'écoute et part s'assoir à sa place.

- comment allez vous ? me demande-t'il

- je vais très bien et vous mon cher ? répondis-je

- de même. Que diriez vous de commander ? il me le demander avec un lueurs indéchirables dans les yeux

- avec plaisir, j'ai une faim de loup ! Et je trouve que ce restaurant est somptueux, vous avez de très bon goût.

- vous me flatter, je vous en remercie.

qu'il est arrogant

Eliott a commandé un plateau de charcuterie pour l'entrée suivi d'une bouteille de vin blanc et pour le plat j'ai pris de la viande avec de la purée de courgette et autres accompagnements, lui a prit du poisson ou je ne sais quoi.

je me met malencontreusement à rigoler toute seule

- aurai-je fais quelque chose de drôle ? me regarde t-il à la limite du jugement

- oh non ce n'est pas vous je vous assure !

bien sur que c'est toi abrutit

les plats nous sont servies et nous commençons à parler

- dites, avez-vous toujours habitée à Moscou ? me demande-t'il

- Alors oui et non, c'est le moment, j'ai vécu un peu à New York.

Après avoir prononcé la fin de la phrase je vois sont visage devenir blanc et ses poings se serrer.

- Oh, à New York ?

- effectivement.

- sans être indiscret que faisiez vous la bas ?

- j'y étais essentiellement pour le boulot, mais j'aime beaucoup cette ville aussi, les lumières, les paysages tout est fabuleux ! dis-je des paillettes dans les yeux mais sa me manque aussi, mais je ne veux pas y retourner pour l'instant. Vous aimez aussi New York ? demandais-je en prenant une bouchée de viande

- Enfaite j'y habite, c'est vrai que j'aime beaucoup la ville en question, mais enfaite vous ne m'avez jamais dit dans quoi vous travaillez ?

- je suis styliste, je travaille dans le monde entier.

- ah je vois pourquoi vous avez des gout aussi extraordinaire. me flatte-t'il

merde je répond quoi, mon coeur s'accélère, non non non arrête toi ! je respire et lui répond

un passé inoubliable ? { PUBLICATION IRRÉGULIÈRE }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant