8: Encore toi.

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Lundi matin : 9h30.

Madison

Il était l'heure de partir et j'avais évidement prévenu mon nouvelle ami avant de repartir à New-York,  il allait venir me voir dans pas longtemps et mon père n'avait plus donné signe de vie depuis l'autre soir heureusement.

J'étais en train de transporter ma valise qui pèse deux cents kilos dans le taxi quand un blond apparaît dans mon champ de vision.

Jusqu'à, qu'il se met devant moi afin de prendre ma valise et de m'aider.

- Laisse moi t'aider mia bella. S'exclama t'il.

Ce surnom me fis tourner au rouge. Il m'avait dit que j'étais belle énormément de fois c'est si mignon.

- Non t'inquiète, je peux me débrouiller. Répondis-je en tirant ma valise à bout de force quand sans que je ne comprennes quelque chose, mon pied heurta un cailloux et je tombe alors mon visage sur ma valise qui avait amorti la chute et Lucas en fou rire totale.

- Très gentleman toi. Dis-je sarcastiquement.

- Je t'avais proposé, mais j'ai vu que tu étais énormément occupé à tombée, attend je t'aide. Dit-il encore en fou rire, les larmes aux yeux.

- Non ne t'inquiète pas je-

Mais avant même de comprendre il me releva, ses bras sous les miens en faisant bien attention de ne pas me toucher la poitrine, il était si attentionné une fois debout, il me regardait un sourire moqueur apparait sur son visage tandis que moi je le fusillais du regard.

Il prend alors ma valise et l'emmène dans le taxi, le chauffeur était sur son téléphone et avant de partir Lucas me prend dans ses bras.

Je monte alors dans le taxi et salua une dernière fois celui-ci.

J'étais pressé de rentrer pour pouvoir questionner ma mère sur tout ce que j'ai appris et j'espère qu'elle me dira la vérité.

4 heures plus tard

Arriver devant ma maison, il était déjà 13 heures et ma mère devait travailler à cette heure là jusqu'à 22 heures, la pauvre elle est débordée en ce moment donc je l'aide beaucoup à la maison on était loin d'être pauvre mais ma mère travaillait pour moi, pour mes études plus tard j'ai toujours voulu trouvé un travaille moi même mais elle ne voulait pas en me disant que ça va me déconcentrés sur mes études donc je n'insistais pas.

Après avoir tout déballer et ranger, je vais dans le jardin pour m'entraîner, j'étais anormalement en colère, je deversais la haine que j'avais envers mon " père " sur le ballon.

- Tu sais toujours pas viser. Rétorque une voix que je connaissais beaucoup.

Mais ce type est un gros malade mental ou c'est moi ??! Comment il s'introduit chez moi là.

- Darrec ?!?!?! Qu'est que tu fous chez moi, qu'est-ce qui cloche chez toi ?? ÇA VA PAS ?! Criais-je.

- Moi ? Je vais très bien merci de t'inquiéter, je suis ému. Répond t'il.

-  Sort de chez moi sale psychopathe.

- C'est pas très sympa de m'accueillir ainsi. Dit-il une mine boudeuse.

- Ta gueule, je n'ai jamais eu l'intention de t'inviter. Dis-je en fonçant les sourcils.

- Ça ne t'avais pas dérangé, quand j'étais venu te donner les devoirs.

- Ce n'est pas pareil connard.

- Madison Clark serait une bipolaire ?? Se moqua le brun à côté de la porte baie vitré du jardin.

Let's break this promise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant