Guilt

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Christal se réveille seule et la culpabilité revient si forte, la rendant physiquement malade.

Elle va à la fenêtre, regarde le monde parfait et prend quelques respirations profondes pour calmer son estomac.

La bouteille est toujours sur la table de la cour quand elle y va, l'accusant silencieusement.

La plupart des plats ont été débarrassés et Christal n'arrive pas à croire qu'il soit presque midi.

La cour est vide et elle trouve la note de Klaus près de la porte, lui disant que lui, Hayley et Elijah sont allés se promener, et que Rebekah et Freya sont encore avec Davina.

Christal va dans la cuisine et fait le reste de la vaisselle, essayant de justifier sa décision de le garder dans le noir au sujet du contre-sort de Davina.

Au moment où lui, Hayley et Elijah reviennent de leur promenade, elle est nerveuse, incapable d'oublier sa conscience coupable.

Peu importe à quel point elle l'aime et ne veut pas le voir souffrir davantage, elle ne peut pas lui retirer cette décision.

Hayley : Qu'est-ce qu'il y a à manger ?

Christal : Arrêtez-vous là, tous.

Hayley regarde les autres sans comprendre.

Christal : Enlevez d'abord bottes et manteaux

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Christal : Enlevez d'abord bottes et manteaux. Il pleut dehors et j'ai fait le ménage hier avec Bekah.

Christal secoue la pluie des cheveux de Klaus et l'embrasse et même si ses lèvres sont froides sur les siennes, cela la réchauffe toujours à l'intérieur.

Christal : Freya m'a dit que Davina est passée. Elle t'a fait un contre-sort.

Klaus est silencieux pendant un moment, puis ses yeux se rétrécissent et le cœur de Christal commence à battre plus vite parce qu'elle a soudainement peur qu'il sache qu'elle a essayé de le lui cacher.

Klaus : Il y a un piège ?

Christal pousse un soupir de soulagement et lui dit les résultats possibles, lui prenant sa veste et la suspendant à côté de la porte.

Il prend sa main avant de parler et le cœur de Christal s'accélère à nouveau, sachant qu'elle sait sa décision, mais ayant toujours peur de l'entendre.

Klaus : Mangeons juste.

Klaus : Mangeons juste

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