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Rosa FENA
France : 18h30

-Alors raconte-moi, pourquoi tu es là ? Je commence

-Je déménage, d'ailleurs j'ai quelque chose à te montrer demain. Il me dit

Avec Élio nous sommes dans nos salon, après la scène de la voiture, nous sommes rentrés. Avons pris notre douche, dans laquelle nous avons recommencé. Puis nous voilà dans le salon en train de parler.

-Mais ton poste à Lille ? Je lui demande

-J'ai démissionné. J'ai postulé dans la tienne. Il m'informe

-Mais, fin, comment tu as fait ?

-J'ai beaucoup négocié pour y rentrer, on a beaucoup parlé sur toi, tu es une élève et en plus ma copine, il craignait que je favorise. Il n'était pas d'accord, réellement pas. J'ai négocié en disant que cette université avait besoin d'un prof de littérature, que toi et moi nous allions être discret. Il me dit

-D'accord, tu as eu beaucoup de chance. En plus c'est un vrai grincheux le directeur. Je lui dis

-Ouais. Bon la meilleure chose c'est pour demain.

Il m'embrasse.

-C'est quoi ? Je demande

-Mmh je peux te donner un indice, pour être encore plus officiel. Je ne sais pas si cet indice marche mais voilà. Il me dit

-D'accord. On va faire manger ? Je lui dis

Il hoche la tête puis nous nous levons. Nous cherchons une recette sur internet. Nous trouvons du poulet coco-curry.

Je sors les ingrédients. Je mets de l'eau à bouillir pendant que Élio coupe le poulet. Je sors une poêle pour le poulet et l'huile.

Après je verse des pâtes dans l'eau bouillante, Élio arrive avec les bouts de poulet et les mets un par un dans la poêle d'huile chaude.

Il passe son bras gauche autour de ma taille, et nous cuisinons tous les deux. Moi je touille mes pâtes pendant que Élio fait revenir le poulet d'une main.

-Salopette est où ? Je demande

-Salopette, il est...Je ne peux pas te dire sinon ce serait trop facile pour la surprise de demain. Il me répond

-D'accord. J'ai hâte de voir ta surprise !

-J'espère bien. Il me dit avant de m'embrasser les lèvres.

La sonnerie des pâtes sonne. Je l'étain et essor les pâtes. Élio commence à préparer la sauce après avoir fini avec les bouts de poulets.

-Tu veux combien d'enfants ? Me demande soudainement Élio

-Quatre minimum. Je lui dis en souriant, imaginant déjà nos enfants en train de courir partout

-Quatre ? Tu n'en veux pas, je sais pas, genre deux ? Il me demande

-Nan, nan quatre. Tu crains de ne pas survivre à quatre enfants ? Je lui dis en rigolant

-Bon on commence quand notre usine à enfant ? Il me dit en rigolant

-Ça va quatre enfants ! Et quand je tomberai enceinte je suppose. Mais attends-nous sommes ensemble que depuis deux mois.

-Tu as peur que notre relation ne dure pas. Il me dit le regard qui change en un regard noir

-Non Élio, tu ne vas pas t'énerver pour un truc que je n'ai jamais dit.

-Je ne m'énerve pas ! Il me dit en criant

Our secretsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant