Un jours,
Dans les sommets des montagnes
Les plus escarpées, vivait un drôle d'homme à l'allure singulière.
Pourtant ce matin,
C'est la mine triste et le regard vide, qu'il partit gravir le froid, une personne sur son dos, et une étrange besaces à sa ceinture.
Il finit par trouver,
Après de longue heure à lutter,
Sur une bien sinistre caverne
Et où l'on pouvait y entendre,
En tendant l'oreille,
Un long et tortueux râle.
Il y mis les pied,
Déposants à l'entrée de la grotte
Le corp qu'il avait eu tant de mal à escorter
"Oh! Grand dragon !"
Cria l'homme en haletant.
"Je vous en implore, venez à moi,
Devenez mon sauveur !".
De grand yeux,
Dans le noir apparurent
Et d'une voix rauque il répondit
"Tu es bien téméraire de venir jusqu' ici troubler mon sommeil, pour m'implorer de te sauver.
Aurais tu perdu la raison ?"
"Il n'en est rien !"
Dit l'homme dragon.
"Car si je me suis déplacé jusqu' ici, ce n'est point pour ma personne, mais celle de ma bien aimé, tout ce dont tu pourrais désirer en échange sera ordre pour moi, et même ma vie s'il le faut !"
La créature ricana à l'annonce de sa demande.
"Et bien soit !
Apporte moi donc ton être chère je me sens d'humeur clémente aujourd'hui, mais en échange tu devras me faire don d'une chose très précieuse,
Ta magie."
Cette magie avait jusqu'alors permis à l'homme de subsister comme il le pouvait, en faisant croître les récoltes contre quelque pièce. Y renoncer serait perdre toute chance de se nourrir encore à sa faim.
Mais le faible Homme lui apporte le corps de son épouse sans la moindre force, cette dernière respirant avec grande difficulté.
Le grand dragon prit la peine de l'examiner puis se tut quelque instant.
"J'ai une nouvelle à t'annoncer. Mais celle ci risque ne point servir nos intérêts, tu devrais t'asseoir"
Il prit une grand inspiration
"Il est trop tard. Ta bien aimé viens de rendre l'âme."
L'homme dragon éclata en sanglot de longue minute sous le regard désolé de la créature.
Puis il se releva et commença à tendre les bras vers le dragon
"Prends tout ce dont tu as besoin."
"Mais je n'ai pas pu la sauver ?"
S'exclama le dragon.
"Peu m'importe! Ma vie n'a plus de sens. Si tu as besoin de mon énergie, je suppose que c'est pour rompre le sort qui te retient ici. Je n'ai pu la sauver alors, je t'aiderais au moins toi."
Le dragon commença alors à absorber la magie du pauvre homme désemparé puis dans un grand battement d'aile, quitta la grotte.
" Adieu, magnifique créatures. Puisse tu retrouver ta liberté. Et mon désarroi n'être que de courte durée... "
Une foi sorti de la grotte, le dragon se mit à ressentir une profonde empathie pour cette être qui venait de tout perdre en offrant un ultime cadeau à celui qui n'avait su que lui révéler un bien triste et évident présent.
Il fit demi tour et s'adressa à ce qui n'était plus qu'une coquille vide.
"Toi qui as fais preuve de générosité, et ceux sans rien obtenir en échange. Je vais tout de même t'offrir un pouvoir à toi et à tous les tiens. “
Le dragon partit d'abord chercher un amas de branchages, quelque bouquet de Cigue, de magnolia et de lycoris rouge, il en fit un grand tat où il déposer le corp sans vie de la femme.
"Mais que fais-tu ?"
Criait le pauvre homme.
"Je t'offre la, et ce pour aussi longtemps que le souvenir de ton geste survivra.
La possibilité de chasser la tristesse de ton cœur."
Le dragon mis alors le feu au brasero et s'exclama de sa voix forte
"Ce sera d'abord le déni qui te frappera lorsque tu brûleras la dépouille d’un être chère, tu Puis viendra inévitablement la colère te heurter".
De petit esprits jaillissant petit à petit des flammes, au fil de son explications, passant au travers de l'homme désemparé.
"Te rendra visite après cela l'esprit de la négociation puis celui de la tristesse."
L'homme semblait ne pouvoir en supporter plus.
"Viendra alors l'esprit de l'acceptation"
Après avoir été traversée par ce dernier, on puis voir sur l'homme que la tristesse avait disparu et le dragon s'envola profiter de sa liberté.
VOUS LISEZ
Lettres que je n'enverrais jamais.
De TodoRecueil d'histoire et de poème écrit par mes soins. Des bouts de ma vie que je voulais cacher. Et autre truc que j'ai écris.