𝐒𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐭𝐮 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐛𝐨𝐧𝐡𝐞𝐮𝐫? ~Mahyra

𝟑.

𝐌𝐚𝐡𝐲𝐫𝐚*

𝟖 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏*

En rentrant chez moi, j'entendais vraiment du bruit. Comme si il y'avait plusieurs personne qui se battait. J'allais rentrer mais j'ai retrouvé Salim, devant la maison le visage choqué.

Salim : Ya bourbier je pense.

- Il se passe quoi, pourquoi tu rentre pas ?!

Salim : Flemme de graille une grosse tarte par baba, je t'attendais.

- Mais y'a qui a la maison, pourquoi y'a autant de bruit ?!

Salim : Ta cru j'étais le roi soleil ? J'sais pas il se passe quoi, il est où mon tacos ?

- Tiens -lui tant le sachet que j'ai dans la main- On rentre ?

Salim : Mais ça a l'air chaud non ?

- Mais et alors ? Je veux savoir il se passe quoi moi, imagine il se battent.

Salim : Beh je rentre dans la bagarre et je l'ai nique tous, personne touche à mes parents.

- Soit sérieux un peu, on rentre ?

Salim : Eh vas-y on est des vrais tunisien ou pas ? -dit il après un moment de réflexion

- Oui.

Salim : Beh rentre ton gros corps dans la baraque aussi, pourquoi tu m'regarde.

- Mon gros corps ? Je retiens bien.

Je l'ai regardé une dernière fois avant de rentrer dans la maison, un blanc a fit place dans la pièce pendant que moi et Salim les regardent avec incompréhension.

Une femme de l'âge de ma mère est présente avec deux filles qui doivent avoir l'âge de mon frère. Je leurs souri en voyant qu'elles me regardaient mais elles m'ont lancer leurs pires regard.

La dame : Et elle c'est ta pute de fille Mohamed ?!

Je fronce les sourcils, pourquoi elle m'insulte même. A quel heure j'ai dit qu'elle avait le droit.

Mama : MAIS JE RÊVE ! MOHAMED CALME LA PARCE QUE JE VAIS PAS RIGOLER ! TU TE CROIS OU POUR INSULTER MON ENFANT DE KEHBA HEIN ?! RACHIDA PÈSE TES MOTS. -dit elle pleine de rage

Salim : Rachida -riant- Pâte d'Arachide.

Baba : Salim, je vais m'zehef -lui lançant un regard noir

Salim : Smeh, c'est sorti tout seul.

Rachida : En plus vous avez un enfant bête, wAllah je suis choqué. Une pute et un autiste.

Mama : s'approchant d'elle- MAIS EN PLUS TU CONTINUE, SORT DE MA MAISON ET VITE. SI TES VENU FOUTRE LA MERDE DANS MA VIE KAWED, DEPUIS TOUT À L'HEURE JE DIS RIEN SUR TES FILLES DONC PARLE PAS DE MES ENFANTS, Non mais je vais devenir folle là.

Baba : Bon sortez, vas-y sort Rachida wAllah je vais plus tenir longtemps. Casse toi.

Rachida : Ah maintenant tu rejette tes filles ?! Tu l'es assumes pas, je suis venu rétablir la vérité. -s'adressant à moi et Salim- Regardez, vos sœurs.