𝐒𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐭𝐮 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐛𝐨𝐧𝐡𝐞𝐮𝐫? ~Mahyra

𝟕.

𝐌𝐚𝐡𝐲𝐫𝐚

𝟏𝟎 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏*

Le lendemain, avec Mélina on avait décider de rester toute la journée à la maison à rien foutre. On s'était pris plein de cochonneries à manger et on s'est mise dans mon grand salon pour regarder plein de film d'action.

Perso les films d'amours et tout le délire là c'est vraiment pas mon trucs, j'préfère de loin les films d'horreur et tout le tralala.

Enfin bref, ma mère nous avait rejoint après avoir cuisiner pour ce midi.

- Ta préparer quoi ?

Mama : Un gratin de pâtes.

- Pourquoi tu m'a pas demandé ? J'allais le faire, tu te casse la tête pour rien maman.

Mama : Genre là tu me traite de veille ?!

- Non, mais j'aurai pu le faire pour pas que tu te casse la tête. Bref, ou est Salim ?

Mama : Il doit sûrement être au garage avec ton papa.

Mélina : Tata tu regarde le film avec nous ?

Mama : Beh ouais, j'suis pas votre copine moi ?

Mélina : Si -dit elle en rigolant

Elle lui a rendu un sourire avant de se placer entre nous deux, on a continué notre séance film. Quand mon père est rentrer il était pas tout seul, il étais avec ces amis.

Salim est venu vers nous, je l'ai directement attrapé et fait un bisou. Est ce que c'est possible qu'il me manque alors que ça fait seulement 4 heures je ne l'ai pas vue.

Salim : Mais toi tu m'aime trop, il est où Ñiro ?

- Il dors sur mon lit.

Les amis de mon père sont venus s'assoir sur le canapé, je leurs est souri après avoir lâcher un salam collectifs.

Baba : Ça vous dérange de monter les filles ? On va régler quelques problèmes, après vous pouvez redescendre.

- Oui pas de soucis.

On est monter, ma mère est rester en bas. J'espère qu'elle pourra tout nous expliquer quand sa sera fini. J'ai aperçu Salim, avec Ñiro allonger sur mon lit.

- Tu veux pas qu'on sorte à la cité, je m'ennuie ?

Mélina : Ouais vas-y pourquoi pas.

[...]

On s'était rapidement préparé, après avoir supplié mon père de sortir il nous avait enfin dit oui. Je pense qu'avec l'aide de ces amis sa nous avait aider nous.

En arrivant à la cité, c'était un peu bruyant. Y'avait des enfants qui couraient de partout, y'avait plein plein de gens c'était bizarre. Pas comme d'habitude.

Avec Mélina on s'était dit qu'il y'avait sûrement un événement que les grands de cité avait préparé mais sa restait quand même chelou.

On s'est assise devant le stade là où les petits de l'âge de mon frère jouaient, mon frère allait pas tarder à les rejoindre.

Mélina : C'est bizarre aujourd'hui.

- Ouais, j'ai un mauvais pressentiment depuis tout à l'heure.

Mélina : Je devrai pas appeler Kaïs pour lui demander ?

- Oui.

Elle a composé le numéro de Kaïs avant de mettre haut parleur.