𝟖.

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𝐌𝐚𝐡𝐲𝐫𝐚

𝟏𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝟐𝟎𝟏*

Je vous est probablement sauté une bonne semaine de ma vie, à part rester dans ma chambre avec Ñiro ou me battre avec mon frère pour la télé je faisais pas grand choses.

J'avais tellement envie d'allez en vacances, mais mon père cet été avait trop de choses à régler de même pour ma mère et ils allaient certainement pas nous laisser voyager seules.

Sauf si mon tonton étais présent, et je doute qu'il voudrait ramener des petits dans ces vacances.

Ce jour là, il étais venu chez moi. Il étais venu nous rendre visite et voir comment on avait grandi Salim et moi. Nous avons que 6 ans de différence étant donné que c'est le dernier frère à mon père.

Il n'a que 22 ans, enfin bref il étais assis sur le canapé avec mon père à discuter j'étais juste entre eux deux en étant sur mon téléphone mais lorsque j'ai entendu le mot « vacances » j'ai vite posé mon téléphone pour poser mon regard sur eux.

Tonton Lyes : Ouais je vais prendre des vacances, j'compte allez en Italie avec quelques shabs.

Baba : Ah putain, j'aurai kiffer venir mais vas-y j'ai trop de trucs à faire cet été.

Tonton Lyes : Ça veut dire que Mahyra et Salim ils vont pas en vacances cet été ?

Baba : Ouais, mais j'vais voir si on peut allez en Tunisie vers la fin des vacances voir yemma.

Tonton Lyes : Ah ouais.. -me regardant- Tu veux venir avec moi en Italie ?

- Jure ?!

Tonton Lyes : Bah ouais, miskine vous avez pas eu de vacances. Venez on va en Italie !

- Mais oui moi je suis d'accord, faut voir avec ton frère maintenant.

Tonton Lyes : C'est op pour toi Mohamed ?

Baba : Temps que tu ramène mes gosses sains et saufs.

- Ça veut dire oui ????!

Tonton Lyes : Ouais, Mahyra ouais.

J'ai sauter dans les bras de mon père avant de le bombarder de bisou, puis j'ai fait la même avec mon tonton avant de me rassoir étant donné que mon père m'avais mis un coup de pression.

- On part quand ?

Tonton Lyes : On part vendredi.

- Ah trop bien, je vais commencer ma valise et dire à Salim qu'on part.

Je suis monter et j'ai commencer ma valise sauf que Ñiro m'a interrompu vu qu'il s'est posé dans ma valise.

- Trop alaise ce chat.

J'ai rigoler avant de prendre mon téléphone et le snapper mais j'ai reçu un appelle inconnu. J'ai répondu et j'ai seulement entendu une respiration.

Je trouvais sa trop bizarre parce que personne m'avais appelé sans parler avant.

- Allô ? Oui ?

La personne n'a rien dit, puis j'ai entendu un rire de fille et ça a raccroché. Je vous jure les trucs comme ça faut pas me le faire, j'aime vraiment pas je peux faire une crise cardiaque.

J'ai soupiré avant de prendre Ñiro et le bombarder de bisou puis finir ma valise.

[...]

Salim : J'étais chez un pote.

𝐒𝐞𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐭𝐮 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐛𝐨𝐧𝐡𝐞𝐮𝐫? ~MahyraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant