𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 4 - 𝕷𝖊 𝖈𝖔𝖓𝖙𝖗Î𝖑𝖊

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     Je sentis une main froide comme du marbre glisser sur mon ventre, alors que je m'étirai de tout mon corp. C'était le matin et je suis dans le lit de Jung. Il me ramène tout contre lui en déposant, deux, trois puis quatre baisers sur ma nuque. Je sentais son corp, tiédi par le mien durant la nuit, contre mon dos et mes jambes.
     Je somnolai les yeux clos. Puis je me rendis compte que Jung était en sous-vêtements.

     Mes yeux s'ouvrit derechef à cette idée. C'était la première fois qu'il était aussi devetit, je n'avais jamais vue Jung à moitié nu. Lui si, cette été je me suis baladé plusieurs fois en shorte de bain dans leurs immense jardin et puis en boxer aussi. Comme en cette instant. Ma curiosité et mon être tout entier crié de me retourner pour voir son corp qui avait l'air si parfait sous ses vêtements, parfois moulant.

-Serais tu sorti de ta torpeur ? Murmure Jung.

     Je répondis rien, profitant de cette question pour me retourner comme pour y répondre. Mes yeux rencontre les siens, nous étions à quelques centimètres l'un de l'autre. J'enlace timidement mes jambes aux siennes. En faisant se mouvement le drap glisse un peu plus vers le bout du lit et le corp de Jung se relève à moi. Et je ne pu détacher mes yeux de ses muscles saillants, le contour parfait des ses pectoraux et de son abdomen. Si je n'avais pas eut un corp similaire au sien en bien plus skinny et avec beaucoup moins de volume aux pectoraux, j'aurais pu me sentir complexé.

 Si je n'avais pas eut un corp similaire au sien en bien plus skinny et avec beaucoup moins de volume aux pectoraux, j'aurais pu me sentir complexé

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-Tu veux une photo, se moque Jung visiblement ravie de l'effet qu'il me faisait.

-Désolé, dis-je en piquant un fard. Je voulais pas... c'est juste que j'ai rarement vue un corp comme... et puis c'est la première fois que tu es en...

-Tu ne finis pas tes phrases quand tu es embarrassé ! Souris Jung.

-D'abord je termine toujours mes phrases et je suis pas embarrassé, mentis-je.

-Ravie que ça te plais, arqua t-il son sourcil.

     J'entrouve la bouche. Nous étions toujours l'un et l'autre sur nos flancs on se faisait face. Mon cœur battait à mes tempes, partagé entre se que j'ai envie de faire toute de suite et la raison. Puis je me dis que Jung était un peu trop sûr de lui et moi aussi je pouvais faire preuve de courage et entreprendre des choses.

     Je remonte ma jambe gauche sur son flanc puis je m'appuie avec mon coude droit pour monter sur lui le forçant à se mettre sur le dos. J'étais à califourchon sur lui les mains posées sur ses abdos contracté par la tension qui l'habite. J'essayais de prendre confiance et je sentais mes joues se "refroidir". Du bout de mes doigts je dessine les creux de ses abdos et remonte jusqu'à son plexus solaire, tandis qu'il fit glisser ses mains sur mes cuisses en restant prudent et attentif.

-C'est marrant j'ai l'impression que tu n'as plus rien à dire ! M'exclamai-je en dévorant son corp des yeux.

-C'est marrant j'ai l'impression que tu n'as plus rien à dire ! M'exclamai-je en dévorant son corp des yeux

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𝕟𝖆𝖓𝖌●𝖘𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓 ᵀᵒᵐᵉ ᎵᎵOù les histoires vivent. Découvrez maintenant