𝕾𝖆𝖓𝖌●𝖘𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓 ᵀᵒᵐᵉ ᴵᴵ

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 17 - 𝕭𝖑𝖆𝖓𝖈𝖍𝖊 𝖘'𝖊𝖝𝖕𝖑𝖎𝖖𝖚𝖊

     Est-ce dégradant d'obtenir se que l'on souhaite par le sexe ? Disont que j'en avais envie aussi donc autant joindre l'utile à l'agréable. C'était la première fois que je fusionne mon corp avec Nikandros sans Jung. C'était plus intime mais pas moins intense.
     Il faudrait que j'essaye avec Jung seul à seul.

     Nikandros avait tenu promesse et c'est comme cela que nous nous somme rendu devant la maison de Delphine. C'est un style à l'américaine et j'adorais ce style, petites clôtures en bois peint en blanc, pelouse impeccable, maison harmonieuse fait de briques et de bois, avec des couleurs marrons, gris et blanc. Très Depserate Housewives vipes. J'aimais quand Delphine me proposait de faire nos devoirs chez elle.

     Je fis le tour de la maison en passant chez leurs voisins. Je saute par dessus la clôture plus haute de jardin avec aisance et sans aucune difficulté. J'avais mis tout mes sens en ébullition pour essayait de capter mon chat. Je sentais aussi l'odeur du sang humain dans ce quartier, il était 21h passée tous devait être chez eux. Mais avec le transport dans l'avion entre Honolulu et Abbotsford j'avais eut un très bon entraînement en se qui concerne ma maîtrise sur le sang humain. Un véritable calvaire d'ailleurs. Instinctivement je regarde en direction de sa fenêtre de chambre à Delphine, elle était allumé. Puis soudain la porte de jardin s'ouvre, je fus assez rapide pour aller me cacher dans l'ombre. C'était son père avec mon chat dans les mains, il le déposa devant le pas de la porte avant de la refermer.
     Derechef je m'approche et me met presque à genoux.

-Patapouf !! Chuchotai-je. Vient boubou, c'est moi !!

     J'avais tendu l'index dans sa direction mais ses poils c'était hérissait.

-Tu sais les animaux ont un sixième sens pour sentir les prédateurs, il est possible qu'il ne te reconnaît pas !

-Il s'enfuit ! M'exclamai-je.

     Pauvre Patapouf, je fus trop rapide pour lui et bien plus agile maintenant. Je l'avais attrapé, au début il sorti les griffes faisant quelques accro à mon t-shirt, puis après quelques reniflements il finit par ronronner.

-Tu vois qu'il m'a reconnu, m'exclamai-je.

-Mouais, tu es sûr de vouloir récupérer cette boule de poil ?

-Non... Delphine sera probablement triste si il ne revenait pas chez elle !

     Nous étions toutjours dans le jardin et je pouvais entendre la conversation de Delphine avec son père dans leurs salon. Elle était mécontente que son père l'ai sorti aussi tard pour faire une promenade, elle jugé que c'était trop dangereux. Elle se dirigeait ensuite vers l'arrière de la maison puis la porte de jardin. Je repose mon chat puis la voix de Delphine résonne dans l'habitacle.

-Patapouf ! Appela t-elle. Vient par ici minou !

     Nous étions dans le fond, dans le noir totale. J'avais envie de m'approcher pour lui parler, lui dire que tout aller bien.
     Et puis sans vraiment m'en rendre compte je fis plusieurs pas en avant, je sentis la mains de Nikandros dans mon dos une demie seconde, avant que ma voix s'élève.

-Ne crie pas, c'est moi Delphine, dis-je d'une voix maîtrisé.

     Delphine fit un bon en arrière dans sa précipitation elle réussi à se marcher dessus et tombe sur les fesses. Je pouvais entendre son poul battre comme une furie contre sa peau délicatement parfumé. C'est son odeur qui m'empêche de l'aider à se relever.
     OK, ça va être compliqué. Il ne faut pas que je sois trop proche d'elle.

-C'est toi, Isaac ? Dit-elle en se relevant tant bien que mal. Vraiment ? On pensait que tu étais parti pour fuir le pensionnat ou que Jung était un psychopathe genre You et t'avais buté, j'ai mis des affiches partout dans la ville pour te retrouver parce que les flics sont vraiment de gros nuls...