𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 16 - 𝕷'𝖊𝖓𝖙𝖗𝖆î𝖓𝖊𝖒𝖊𝖓𝖙

36 12 0
                                    

     Durant ses heures de passion je pris conscience de l'amour immense qui sommeil en moi pour ses deux hommes. Je devais me mettre au travail plus sérieusement. Je dois rattraper l'expérience acquise des Volturi mais surtout Blanche. Cette femme qui m'a rendu orphelin, pour assouvir sa soif de pouvoir et de lumière. Je dois grandir et cesser de m'excuser, d'exister.

     C'est avec cette réflexion que j'avais foncé seul dans la forêt environnante, pour me faire à toutes ses nouvelles facultés mais aussi pour chasser. Ces pauvres bêtes n'ont aucune chance face à ma force et à mon nouveau trait de caractère intrépide. Mes poings pouvait traverser sans peine d'énorme troncs, j'avais l'impression que je pouvais soulever des montagnes, de créer des cyclones avec ma vitesse. Quand est-il de mes éventuels pouvoirs.
     Dans l'absolu le néant.

     J'étais parti très loin dans les montagnes de l'île. Jusqu'au rebord du pique le plus haut. Je sentais dans l'air la tension d'une tempête orageuse, l'énergie statiques. Mes cheveux se hérissent, ma montre métallique émettait un léger bourdonnement qu'aucun humain ne pouvait entendre. Le vent soufflé mais je réussi à rester parfaitement immobile face aux bourrasques. J'entendais l'éclat de l'orage qui approche.
    J'en profite pour faire le vide dans ma tête.

     J'avais les paumes de mains ouverte, la pluie tombés sur mon visage passant entre mes lèvres. J'imaginais une aura d'énergie qui traverse mon corp jusqu'à mes bras puis mes mains. Je reste concentré sur cette image. Puis le visage de Blanche. Ma poitrine se soulevait et une colère en moi ne demandait qu'à être extériorisé. J'ouvris les yeux, je sentais comme une chaleur autour de mes paupières.
     Un râle s'échappe malgré moi.

-Isaa... commençai la voix de Nikandros l'air décontenancé avant d'être interrompue.

     J'ouvris plus les yeux encore et me rendis compte que j'étais à plus de huit mètres du sol. Je lâche prise ensuite puis retombe sur mes deux pieds.

-Tu te sent comment ? Me demande aussitôt Nikandros.

-Ça va...

     Jung pris mes mains entre le siennes, je sentais ses mains glacé et me rendis compte que mon corp tout entier était emprunt d'une chaleur étonnante.
     Les yeux de Jung était ahuris.

-Isaac essaye de pousser ce rocher avec ton esprit, dit-il ensuite en pointant du doigt un rocher qui avait écrasé une partie de la végétations.

     Je regarde le granit puis Jung. J'avais beau essayer rien ne se passe, Jung viens placer ses mains sur mes épaules et m'ordonne de déplacer ce rocher de granit avec la seule volonté de ma pensée. Je sentais des fourmillements la où il avait posé ses mains mais rien de plus. Jung devait mettre tout se qu'il a pour formuler cette ordre avec son don et je le laisse faire. Je savais se qu'il faisait comme si cela résonne dans ma tête. Je m'aide de mes mains, bras tendu sur le rocher. Au même instant c'était comme si le temp s'arrêtait entre le rocher et moi, la pluie, les particule de terre et de cailloux. Tout était au ralenti, puis je pousse vers le rocher comme si j'avais dans les mains deux alters. Le rocher émis un bruit de cailloux broyé, puis il bougea très légèrement vers le rebord de la falaise. De petits débris commençai à s'élèver de plus en plus haut autour de nous.

 De petits débris commençai à s'élèver de plus en plus haut autour de nous

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
𝕾𝖆𝖓𝖌●𝖘𝖆𝖙𝖎𝖔𝖓 ᵀᵒᵐᵉ ᴵᴵOù les histoires vivent. Découvrez maintenant