Chapitre 17

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Ils entrèrent dans l'avion qui était assez petit comparé à l'autre. Ils marchèrent dans le couloir jusqu'à arriver devant une porte blanche. Ils entrèrent et il y avait une petite chambre avec un lit double à l'intérieur, deux petites tables de chevet et une faible lumière qui éclairai la pièce.

- Cet avion est un peu petit, donc il n'y a que cette chambre où nous pouvons dormir.

On ne sentait aucune gêne dans sa voix bien au contraire on aurait même dit, que ça n'avait pas l'air de lui déplair.

- Ça ne me dérange pas.

- Après vous.

Elle entra dans la chambre et commença à retirer son haut qui tomba au sol. Elle se mit à retirer son bas lorsqu'elle se rappella de sa présence.

- Tournez-vous.

- Pardon ?

- Je me déshabille. Tournez-vous.

Il se retourne le temps qu'elle se change puis elle lui tapotte l'épaule pour le prévenir qu'elle a terminé. Elle avait mis un petit short bleu et un débardeur blanc.

- C'est bon merci.

En se retournant, elle eu un mauvais geste et tomba sur le lit en l'entrainant dans sa chute. Il était au au dessus d'elle, il essaya de se relever mais elle saisie son poignet le maintenant dans la même position.

- Quelque chose ne va pas ?

Elle se contente de le regarder dans les yeux en guise de réponse. C'était comme si elle plongée dans une nuit noir infini, où ses jolis yeux brillaient comme deux petites étoiles et éclairé l'immensité de ce vide. Leurs main commencent à s'entrelacer, ils se caressent tendrement, puis de sa main il glisse jusqu'à son avant bras en allant vers ses clavicules jusqu'à arriver dans ses cheveux et à la serrer fort contre son torse. Un bouquet d'émotions explose dans son estomac. Elle ressent de la joie, du plaisir, beaucoup de panique et surtout de l'affolement. Pourquoi si soudainement ? Les battements de son cœur commencent à s'accélérer et sa température corporel augmente en flèche. Dans élent d'excitation, elle répond à son étreinte et est immédiatement transporter dans une autre dimension. Elle ressent son souffle maintenant brûlant caresser son cou et sa main descendre vers sa taille. Maintenant elle en est sûre, ce n'était pas un rêve, c'était belle est bien réelle. Il plonge sa tête dans sa poitrine et la mordille légèrement, sa sang bon le citron. Elle sursaute et prend son visage des deux mains pour le relever. Leur regard se croisent de nouveau mais cette fois, le sien n'est plus vide non. Il est rempli... de désir.

- Alejandro.

Sa voix est douce et faible, à peine audible. Sans vraiment comprendre, il rapproche son visage encore dans ses mains du sien et il pose ses lèvres sur les sienne. Elle remarque que sa bouche a un goût de café, ce n'est pas étonnant il en consomme beaucoup. Elle passe ses mains dans ses longs cheveux puis sur son dos massif. Ils s'arrêtent à peine pour respirer, il commence même à palper ses fesses, elle se laisse faire. Rapidement, le baisé devient passionné et sensuel. La vraie nature brutal et ferme de monsieur commence à ressortir. Il avait essayé de rester doux au début mais il devient trop enjoué. Il lui mort la lèvre assez fort, ne contrôlant pas sa force mais Mademoiselle n'est pas du genre à se laisser faire. Elle lui mord la langue chose qu'il n'a pas apprécié, il commence à la plaqué au matelas tout en continuant de l'embrasser. Il y va de plus en plus fort mais elle se retourne et échange leur position. Il reprend vite le dessus. Ils continuent ce petit jeu là pendant une bonne dizaine de minutes.
Quand enfin ils se détachent, elle remarque quelque chose de surprenant voir d'inprobable. Un long sourire satisfait c'est dessiné sur le visage de celui qui est toujours impassible. Il la regarde droit dans les yeux, il en veut encore mais il sait quand s'arrêter. Il lui dépose un dernier petit bisous sur la joue avant de s'allonger.

- Vous êtes toute rouge.

Elle réalise enfin ce qu'il vient de se passer. Elle est vraiment surprise de sa propre réaction mais ça ne lui avait pas déplu, elle a même beaucoup apprécié.

- Non. Vous avez des hallucinations.

- Pourquoi est-ce que vous m'avez appelé par mon prénom ?

C'est vrai ça. D'habitude je l'appel toujours par son nom de famille. Pourquoi là je l'ai appelé par son prénom.

- ... Je... trouve que c'est un joli prénom.

- Alors vous pouvez m'appeler comme ça tout le temps.

- Vous êtes sûr ?

- Si je vous le dit, et vous pouvez me tutoyer aussi.

- D'accord. Tu peux faire la même chose pour moi aussi alors.

Un petit silence s'installa dans la pièce ils étaient allongé à fixer le plafond, quand elle se posa une question qui bizzarement,  ne lui était jamais venu à l'esprit.

- Dis Alejandro. Pourquoi est ce que tu te préocupe autant de moi ?

Il la regarda quelques secondes et lâcha un petit soupire.

- Tu me fais penser à quelqu'un.

Fin du chapitre 17

Désolé il est un peu court j'espère quand même qu'il vous a plu.
Sur ce, chuuuusss 😘

MAFIA. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant