Calvaire

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Voilà enfin le nouveau chapitre.
Je tiens à préciser qu'il y'aura de la violence.

C'est dans une cave que le jeune Gabriel se réveilla.
L'endroit était froid et totalement plongé dans le noir.

Il fallut quelques temps à l'esprit de Gabriel pour totalement redémarrer.
Quand, les souvenirs de la veille lui revinrent.

Les policiers. L'aéroport. Sa perte de connaissance.

Son cœur s'accéléra en même temps que l'adrénaline lui monta dans le sang. Il fallait qu'il sorte d'ici et vite.

Malgré l'absence de lumière il tenta de trouver une sortie. Avançant à l'aveuglette il s'accrocha au mur et continua à tâtonner pour finir par trouver cette porte.
Il tenta de l'ouvrir mais...

Elle est fermée.

Pas question pour lui de renoncer , il se mit à tirer sur le poignet de toute ses forces. 
Vain effort. La porte resta inébranlable. Il était maintenant pris au piège condamné à attendre le sort que lui réservait ses ravisseurs.

Qu'allait-il lui arriver ? Allait-on le tué ou pire ?

Les questions qui s'accumulaient lui fesant peu à peu perdre son sang froid.

Si seulement il pouvait savoir.

Dans cette situation, le pire pour lui était l'ignorance. Le fait de ne pas savoir le sort qu'on lui réservait le mettait dans l'angoissaient terriblement lui laissant le loisir  d'imaginer les pires scénarios.

Il avait tellement peur qu'il en vint presque à prié que ses Joliets faces apparition au plus vite afin d'être libéré de cette angoisse.
Mais non, il ne se montrait pas. Il le laissait seul dans le froid et dans le noir, à deux doigt de la crise de panique.

Ce calvaire dura plusieurs heures.
Puis d'un coup un claquement.
Le bruit d'une chaussure.

Quelqu'un approche.

De nouveau le cœur de notre ange se mit à battre à cent à l'heure. À peine il avait entendu quelqu'un approché qu'il regrettait d'avoir souhaité rencontrer ses ravisseurs. Non, maintenant il les voulait le plus loin possible. Maintenant ce qu'il souhaitait plus que tout c'était de retarder le moment fatidique.
Impossible. Avant même qu'ils s'en rendent compte ils étaient déjà au pas de la porte.

Lorsque la porte s'ouvrit Gabriel s'était réfugié très loin dans un coin.
Quand la serrure fit déverrouiller quatre apparurent.

Les trois premiers s'approchaient de Gabriel tandis que le quatrième resta en retrait.

- N'approchez pas ! S'écria t-il terroriser.

Mais les hommes l'ignoraient continuant à avancer dangereusement vers lui.

- N'approcher pas ! Hurlait-il derechef. J... je. J'ai de l'argent... Je vais vous en donner... Je vous...

Il ne finit pas sa phrase que le pied d'un des types atterri sur son visage. Le coup était si fort que sa respiration se coupa. Mais, les hommes ne le laissèrent pas reprendre son souffle que de nouveau il reçu un coup de pied. Puis, un coup de poing. Et les coups s'enchaînaient pendant plusieurs minutes.
C'était si rapide que Gabriel ne pouvais réagir. Il ne pouvait que rester à terre à subir ses assaut.

Après plusieurs minutes à s'acharner sur lui les types repartirent comme il était venu.

Il lui fallut un bon bout de temps pour comprendre ce qu'il lui était arrivé.
Lorsque son esprit avait enfin accepté il lui restait une question à élucider.

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