Attraction

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Délicatement, il jouait avec ses tétons. Tandis que Gabriel,  submergé ne pouvait s'empêcher de gigoter dans tous les sens tout en lâchant des bruits obscènes.
D'un coup, un frisson lui parcourus tout le corps. Son daddy, venait de poser ses lèvres sur son coup.
Il l'embrassa, le lécha, le mordis. Il s'appliquait minutieusement à recouvrir tout son coup de marques d'amour.

Gabriel ne savait plus où donner de la tête. Chaque fois que ses lèvres rencontraient sa peau, c'était un électrochoc. Le plaisir était si intense.

Quand il jugea son travail, il observa son œuvre.
Il souffla un : ‹‹ Magnifique ››.
Puis, s'attaqua aux sous vêtements de sa pauvre victime. D'un geste vif le daddy lui retira tout ce qu'il y avait en bas.
Ensuite, lui écarta les jambes.
Emporter par le plaisir,Gabriel n'opposa aucune résistance.

L'homme lui insera un premier doigt dans son orifice. Rapidement les autres suivis, et il commença à le dilaté.
Lorsqu'il le jugea totalement près. Il y inséra son engin.

C'était calme. Doucement, l'eau quittait sa source s'écoulant sur sa peau avant de retrouver au sol.
Soudain, un fracas. Suivie d'une longue complainte de Gabriel qui vient de foutre son point au mûr.

- Merde ! Jura t-il en regardant son sang s'écouler depuis son poing.

- Lazare ton maudia. Ton maudia au carré. Grondait il.
À cause de lui j'ai fait ce stupide rêve.

Il se laissa tomber sur le sol.

- Mais qu'est-ce-qui m'arrive ? Pourquoi je fais ce genre de rêve sur un homme un... putain d'homme !

Il resta coucher à fixer le plafond de la pièce.

- Qu'est-ce-qu'il m'a fait... Je suis pas un putain de pédé, se lamentait-il.

Quand il décida enfin de quitter la salle de bain il se retrouva la cause de ses soucis.
Immédiatement son visage se déforma en une grimace de colère. Il était bien décidé à lui dire ses quatre vérités à cette saleté de kidnappeur, et tant pis pour les conséquences.
Mais, il n'eût pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il fut assailli un daddy au visage sévère.

- Qu'est-ce-qui est arrivé à ta main ? Demanda t-il d'une mine contrarié.

Sans même lui laisser le temps de répondre, le tira vers la boîte à pharmacie et commença à soigner sa main.

- Personne ici n'oserais lever les mains sur toi, dit en pansant un coton imbibé d'alcool sur sa plaît, provoquant une bref grimace. Ça signifie donc que tu t'es fait ça tout seul.

D'un coup, il s'arrêta. Posa son regard sur Gabriel.

- Ne crois pas que parce tu es malade je n'oserais pas te punir. J'ai bien des moyens de te faire payer ton n'insolence.
N'oublie pas que tu es à moi. Tu as interdiction de te faire du mal. Prévient il

Gabriel en frissonna.
C'est toujours comme ça qu'il réagissait quand il lui parlait comme ça, avec cette voix : Dure, dominante, imposante.
Un il y avait un truc qui était différent
Mais qu'est-ce-qu'il y'avait de différent?
C'était pourtant ce même ton, cette même intonation
Celle qui lui faisait trembler de peur.
Cependant , il y avait belle et bien quelques choses de différent.
Oui, cette fois là, la peur avait complètement cédé fasse à cet autre  sentiment.

Merde c'est pire que je pensais. Pensa t il alors que son cœur s'affolait.

        

Après ça, Gabriel fut plongé dans une telle confusion qu'il toucha à peine au succulent petit déjeuner qu'il lui était proposé.

- Manges correctement, lui ordonna son daddy.

- ...

- Manges correctement, tu auras besoin d'énergie pour ce soir. Ajoutait il.

- Y'a quoi ce soir, daddy ?

- Notre première séance.

- Séance de quoi encore ? Souffla Gabriel fatigué de tourner autour du pot.

- De jeux. Nous allons faire ce pourquoi tu es là.

Une palpitations. Puis son cœur se mirent à accélérer.

C'était donc ça.

Ils allaient le refaire aujourd'hui. Ils allaient avoir du sexe.

À cette idée son esprit se remplit d'une certaine appréhension, de peur et d'un sentiment sous jacent... Excitation ?

-Tu ne proteste pas. Constata son daddy. C'est bien. Tu comprends enfin, que ça ne sert à rien de faire le rebelle.

      

Le soir arriva après une journée à se retrouver le cerveau
C'est un des employés qui l'accompagna devant cette pièce qui lui était jusqu'alors inconnu.

‹‹ Une fois devant frapper puis attendez qu'on vous ait donné la permission d'entrée ›› avait prévenu l'employé.

Gabriel, pris une profonde inspiration. Plaça son point devant la porte, près à frappé. Pris une deuxième inspiration. Puis une troisième et une quatrième.

Son cœur s'affolait dans sa poitrine.

Une cinquième inspiration.

- Bon, si je continue comme ça je risque lui faire perdre patience. Il se décida enfin à toquer.

Trois coups à la porte. Et il entendus un: ‹‹ entrer ››.

Ça y est.

Lorsqu'il passa la porte, il fut accueilli par un partenaire de bougies.
Douze au total, entourant toute la pièce.
Elles représentaient l'unique source de lumière de cette pièce, ajoutant encore plus à l'atmosphère épuré de celle ci.
En effet elle ne comprenait qu'un lit et une seconde porte.

Au milieu de tout ça il était debout, les mains derrière le dos, et vertu d'un simple pantalon noir et d'une chemise blanche. Gabriel l'a rarement vu si sobrement vêtu.
Dès qu'il eût posé les yeux sur lui, Gabriel perdu tout intérêt pour la déco de la pièce.

Pourquoi se contenter d'une pièce à moitié vide alors qu'il pouvait contempler cette œuvre d'art?

Il était là, devant lui plus charismatique et magnétique que jamais.

- À genoux. Il ordonna.

Le cerveau de notre ange pris du temps à démarrer. Il était beaucoup trop occupé à admirer la beauté devant ses yeux et il comprit bien trop tard.
Merde. Il venait à peine de pénétrer cette pièce mais avait déjà commis une erreur.

Pourtant il était déjà à genoux.

Comment ?
À quel moment ? Il ne s'en était même pas rendu compte.

Son corps avait agit tel un automate. Sans même qu'il est besoin de réfléchir.

C'était donc trop tard. Avant même qu'il est accepté. Tout son corps était déjà dévoué à cet être.




Dictionnaire nouchi  ( le retour )

• Maudia : Ça veux dire maudit.





Salut.
Je sais j'ai encore disparu alors que j'avais dit que j'allais revenir avec plus de chapitre. Désolé. Pardon population.
Le pire c'est que j'ai écrit le chapitre mais j'ai oublié de le publier. Mais pour me faire pardonner je promets de faire sortir le prochain chapitre dans un délai de cinq jours.

J'espère que vous avez apprécié la lecture.
Ne m'oubliez pas s'il vous plaît!!!

Bye (;

Devenir La ProieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant