Devenir La Proie

Soirée mouvementée

- Salut mon ange, dit l'homme d'une voix doucereuse.

- Tu fait quoi ici ? Répliqua Gabriel d'un ton très agressive.

- Jusqu'à preuve du contraire c'est ma chambre. Plaisanta  t-il.

- Tu peux toujours me laisser partir et garder la chambre.

- N'y compte pas.

Gabriel remarqua que l'homme devant lui semblait de très bonne.

Il prit plaça près de lui et voulut lui caresser de nouveau la joux. Mais il fût repoussé d'une gifle sur la main.

- Tu sais, je suis d'assez bonne humeur, je vais donc te pardonner ton geste. Annonça t-il. Je vais même passer le fait que tu ne m'ai pas appelé daddy. N'est ce pas gentille de ma part. Biensur à condition que tu te corriges immédiatement.

Gabriel resta quelques temps immobile à le fixé. Puis, sans que lui même s'y attend il répondit par un :

- Non.

- ...

- Non. Répeta t-il d'une voix plus intelligible.

- Gabriel, sa voix était devenue moins douce.

De nouveau, il lâcha d'un ton très déterminé un : ‹‹ Non! ››

L'homme pouffa de rire. Mais pas de d'un rire normal. Non, il était plutôt cynique et effrayant.

- À ce que je vois beaucoup mieux. Tellement que tu ose tenir tête.

À ce moment là ses yeux et même sa voix respirait le danger. Gabriel regrettait déjà son élan de courage.

- Vu que tu es parfaitement bien portant tu seras capable d'endurer cela. Lança t-il avec un sourire.

Sans plus d'explications il déchira le haut de Gabriel. Alerté, son instinct de survie lui siffla de s'enfuir.
Trop tard. L'homme l'avait déjà immobilisé et à l'aide de sa ceinture lui ligotait les bras au dessus de la tête.
Gabriel mort de peur, gigotait dans tous les sens et se débattait de toutes ses forces. En vain.

- Qu'est-ce-qu'il y'a tu as peur maintenant ? Où est passé le courage que tu avais pour me osé me défier?

L'homme le toisa comme une bête face à sa proie puis, il s'empara de ses lèvres qu'il emporta dans une danse sauvage. C'est uniquement quand il fut à bout de souffle qu'il le libera.

À peine après avoir repris son souffle Gabriel se mit à hurler à tu tête  :

- Laisse moi ! Laisse moi partir !!!

Pour le taire le type pris un bout du vêtement détruit et l'enfonça dans la bouche . Affolé, celui ci se mit à se débattre encore plus brutalement, donnant des coups de pied en l'air jusqu'à frapper le type au visage.

- Ça suffit maintenant, tonna t-il en lui calant les jambes. Si tu continues ça je te brise les jambes.

Intimidé, il s'arrêta.

- Écoute, d'une voix un peu plus douce, tu vas rester tranquille et tout ce passera bien. C'est ta première fois alors j'essaierai de me montrer doux au possible. Tu aimeras je t'assure. Il accompagna son geste d'une caresse affectueuses sur la tête.

Geste qui eu pour effet de tendre encore plus Gabriel.

Après un moment ses mains quittèrent ses cheveux pour partir en exploration de son torse.
Ses gestes étaient lent et doux afin de détentre son soumis. Il continua sa conquête jusqu'à atterrir sur les deux nœuds de son ange qu'il commença à malmené tendrement. Causant des gesticulations involontaires chez son baby.
Bientôt, une de ses mains quitta son torse pour s'aventurer dans son pantalon. Il pressa l'appareil sexuel de Gabriel qui frissonna. Puis il commença  à le massé par dessus son slip. De haut en bas, doucement puis rapidement, jusqu'à qu'il ne soit que frou-frou de plaisir. Un plaisir tel qu'il ne fut plus capable de retenir ses gémissements, parfaitement audibles à travers le bâillon.
Après quelques temps Gabriel finit par se lâcher dans son caleçon une expression de jouissance sur le visage.

- Je t'avais dit que tu apprécierais, déclara t-il goguenard.

Cette simple phrase réussit à le ramener sur terre avec en prime un profond sentiment d'humiliation.

Avait-il déjà été autant humilier de sa vie ? Se laisser aller au plaisir que lui offrait un homme, jamais...
C'est là que les souvenirs de ce jour où il s'était fait jouir en se doigtant devant l'homme réapparut.
Ce qui rajouta une couche à son sentiment d'humiliation.
Il s'était conduit de manière indigne pour un homme et voilà que ce type prenait plaisir à l'humilier avec son air suffisant.

‹‹ Ça n'arrivera plus. ›› Se promit-il.

C'est à ce moment que l'homme décida qu'il était temps d'entamer les choses sérieuses. D'un geste esper il lui arracha son pantalon et son sous vêtements. Il présenta un doigt devant l'intimité de Gabriel avant de l'y enfoncer. Il le doigta de la même manière qu'il avait demandé à Gabriel de le faire la dernière fois.
Cependant, les sensations qu'il ressentaient étaient différentes de cette fois là. Ces doigt là était plus gros que les siens,  plus long que les siens et surtout, beaucoup plus expérimentés. Très vite, Gabriel se sentit remplis, comblé.

Non.

Il ne devait surtout pas se laisser aller. Il ne devait pas tomber. Il devait se retenir. Ça fierté était en jeux. Ce démon de la luxure ne l'aurais pas.

- Détend toi un peu, lui somma l'homme au dessus de lui. Ou tu risques d'avoir mal.

Mais faire ça s'était prendre le risque de perdre pied. Hors de question !

- Je t'aurais prévenu, déclara t-il avant de retirer son bas.

À la vue de l'homme qui se déshabillait devant lui Gabriel se rappela d'avoir peur. Il se mit à balancer ses pieds en l'air pour le repousser et finit par l'avoir au visage. Grave erreur.
L'homme immobilisa ses jambes.

- Je t'avais demandé de rester tranquille, grondait-il en pressant fortement les jambes jusqu'à un "crack".

Gabriel poussa un cri étouffer. On venait de lui fracturé la jambe gauche.
Mais il lui laisssa même pas le temps de se remettre de cette douleur qu'il s'enfonça brutalement en lui.

La douleur à ses jambes, ajouté à celle de son entrée était tellement insupportable qu'il ne put retenir ses larmes. Offrant un spectacle pitoyable avec ses yeux humides et le bas de son visage recouvert de la salive qu'il fuitait de son bâillon.
Pris de remords, son daddy se mit à essuyer les larmes.

- Ça va aller, ça va aller chut, miaula t-il en caressant les joux.

Il décida de lui retirer son bâillon.

- Pourquoi ? Fut le mot qu'il sortit lorsqu'il le pû.

- Je suis désolé. Répondit-il doucereux.

Quelques secondes plutard il donna son premier coup boutoir.
Gabriel poussa un cri suraiguë.

- Mais tu as dit que tu étais désolé, reprocha Gabriel avec une bouille  que son daddy trouvait beaucoup trop adorable.

- Mais je le suis. Rétorqua l'homme avant de recommencer.

- Hgn... Pourquoi tu fait ça ? Pleurnicha l'ange.

- Chut ça va, ça va mon ange.

Il reprit une nouvelle fois.
Ce fut le début d'une longue soirée.

Voilà pour le chapitre.
Merci de m'avoir lu.
Vous l'avez aimé j'espère ?
Dans le prochain chapitre j'introduis un nouveau personnage. J'ai trop hâte que vous le découvriez (⁠^⁠^⁠).

Autre chose, je sais que je n'ai pas donné beaucoup de détail sur le physique du daddy. En fait, c'est parce que moi même je n'arrive pas à l'imaginer. C'est pour ça que je suis très curieuse à propos de comment vous le voyez. Alors n'hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires. Ces yeux, ses cheveux ? Je veux tout savoir.

Sur ce à bientôt (: