~ Sorry mes chats, j'ai repris les cours sur Paris et le temps d'adaptation a duré deux semaines, mais voilà ce deuxième petit chapitre spécial et spicy pour vous :))
Enjoy ~
Quand il me passe le bâillon, une petite peur en moi s'installe mais est vite remplacé par de l'excitation quand il prend un ciseau dans l'un des tiroirs de la table de chevet pour venir découper ma robe... la robe que j'avais payée 3000 dollars.
Alors que je m'apprête à me plaindre, j'en oublie presque le bâillon et bafouille quelques mots incompréhensibles et suivie d'une autre fessés qui me remet à l'ordre.
Giorgio: Mon pauvre bébé, tu voulais me dire quelque chose?
J'essaie d'aller lui dire d'aller se faire foutre, mais ma tentative est aussi pathétique que la première.
Giorgio: Regarde toi, tu es déjà si mouillé et prête pour moi.
Sans m'avertir, il arrache ma culotte et presse mes lèvres contre mon sexe.
Giorgio: Mmmh. Tu as si bon goût.
Quand sa langue joue avec les extrémités, j'arque le dos instinctivement, mais suis vite reprise par sa main qui me replace avec force.
Giorgio: A chaque fois que tu bougeras j'utiliserai ce doux instrument de torture pour te punir.
Je jette un coup d'œil à la tapette a fesser et mes yeux s'écarquillent de terreur. Je lui fais non de la tête mais le son de son doux rire me dira qu'il fera tout son possible pour me pousser à bout pour me punir.
Il soulève lentement la jambe droite pour cette fois-ci venir lécher franchement mon cœur sans perdre de temps.
Je commence à respirer lourdement et rester en place mais la façon dont il joue avec mon intimité me rappelle que dans quelques instant je n'aurai plus le contrôle de mon propre corps et putain que ça m'excite.
Sa langue viens lécher mon clito tout en tournant autour et quand elle plonge à l'intérieur de moi, je lâche un gémissement plutôt satisfaite du son plaisir mais aussi pour m'empêcher de bouger.
Giorgio: Mon trésors tes tentatives sont inutilisés, bientôt tu te retrouvera sur le ventre à devoir assumer ta punition.
J'essaie de ne pas l'envoyer balader, et quand il ajoute un doigt dans le mélange des larmes commence à monter tellement le plaisir est bon.
Je ferme les yeux et respire doucement, mais un spasme prends possession de mon corps alors qu'il touche mon point G.
Giorgio: Mmmh. J'ajoute une fesser.
Je fronce les sourcils mais me concentré à nouveau pour éviter de perdre le contrôle à nouveau, mais alors que je sens que je commence à baver j'essaie d'incliner la tête pour ne pas la laisser couler. Plutôt mourir que de passer pour une grosse salope en chaleur qui n'attends que la bite de son connard de partenaire dominant la pénètre pour remplir sont malheureux trou du vide dans lui.
Malheureusement pour moi il en profite pour me dire qu'il ajoutera une autre fesser avec la tapette.
S'en est trop pour moi je suis sur le point de jouir quand il plonge un doigt troisième doigt en moi m'incitant à encore perdre le contrôle, alors qu'il accélère de plus en plus la cadence et y ajoute sa langue en plus.
Mon corps tremble de plus en plus me suppliant de me laisser aller et d'exploser et c'est ce que je fais, je jouis dans sa bouche le laissant goûter à mon excitation tandis que je bafouille dans mon bâillon.
Il ricane et soudain, sa main qui tenait ma jambe, se déplace vers mon seins droit pour venir jouer avec mon téton et le pincer pour ajouter encore plus de sensation, ce qui me fait à nouveau bouger, a cause de l'orgasme précédent ne s'arrêtent pas pour le faire continuer.
Giorgio: Encore une.
Putain.
Cette fois s'en est trop de sa torture, j'essaie de le pousser avec mes jambes, enfin ce qu'il reste de mes jambes, à cause de l'orgasme qui dure toujours, mais il me retourne pour venir enfin me libérer de ce bâillon atroce quand je commençais à m'étouffer avec ma propre salive et me dit a l'oreille. avant que je ne l'insulte.
Giorgio: Si tu dis un mot pour m'insulter, je te remet le bâillon et te laisser t'étouffer avec ta propre salive pendant que je te baisserai durement tu as compris?
Comme je ne réponds pas, il m'attrape par les cheveux et me repose la question?
Giorgio: Dit oui.
Je fais oui de la tête mais sursaute quand une claque sur ma fesse droite me fait sursauter. Putain quand as-f-il pris cet objet ?!
Giorgio: Je veux te l'entendre dire.
Toujours pas de réponse, une autre claque mais plus forte sur la précédente.
Cette fois, je ne me fait pas crier gare et lui réponds encore toute chamboulée.
Lesley: Oui !! Oui !!
Giorgio: Bonne fille. Je t'enlève la dernière fesser pour te prouver que je suis quand même reconnaissant au lit quand tu es sage.
Lesley: Sale batard. Je me vengerai.
Alors qu'il s'apprête à ranger la tapette, celle ci viens claquer mon autre fesse tout en alternant avec l'autre. Je n'arrive plus à compter combien j'en ai eue, mais tous ce que je sais c'est que j'aurai du fermer ma putain de gueule.
Lesley: Arrête !! Je t'en supplie c'est l'enfer.
Girgio: Tu pense que l'enfer c'était ça? C'était loin d'être le cas mon amour. Je ne t'ai pas encore pénétré, et quand je le ferai tu auras une tout autre raison de penser que l'enfer était loin d'être ce que tu imaginais. Même si j'ai envie de continuer à rentre ce jolie cul tout rouge, on reporterai ça à plus tard, je n'ai pas envie de l'abîmer en continuant à jouer avec ça serai dommage et vu la couleur, je pense qu'il vaut mieux que j'arrête si je ne veux pas qu'il vire au violet même si c'est une couleur que j'aimerai bien voir. Toi et moi on vas passer au choses sérieuses mon ange.
Et c'est la qu'il en profite pour s'enfoncer au plus profond de moi sans crier gare.
Et je crie en jouissant à nouveau, ne m'attendant pas à cette intrusion soudaine.
Putain, la nuit vas être longue. Ma vengeance pourra seulement attendre.
