Le Désir Est Naturel ~

A ᵠᵘ'ᵃ́ ᵗᵒⁱ

Hello, avant de commencer,

Je suis contente que vous ayez cliqué ici !!!!

Bref, en espérant que sa vous plaise,

/!\ Mention de lemon /!\

Pour les âmes sensibles...
On se voit au chapitre prochain ^^

Sinon, pour ceux qui restent :

Bonne lecture ~

<<<<<<<<<<<<<<

Aujourd'hui, c'est la journée la plus longue de toute la semaine, mais aussi et surtout la dernière...!

Nous sommes en Maths, étant le dernier cours, mon meilleur ami et moi soufflons en cœur quand la sonnerie retentit.

Nous allions enfin pouvoir rentrer chez nous et jouer à la console.

Mais en sortant, une fille d'une autre classe nous arrête pour parler à mon ami...

Encore, c'est déjà la septième fois en une semaine...

Elle est lourde...

Bon après, je ne peux pas dire ça, en réalité elle a rien fait, mais...

C'est que ça me rend bizarre, à chaque fois qu'une autre personne que moi, vient lui parler ou le toucher ça me met hors de moi...

Parce que j'ai envie qu'il soit à moi, et rien qu'à moi !...

Mais sa n'arrivera jamais, et puis personne n'appartient à quelqu'un...

La fille partit, il se retourne vers moi.

"- Tu veux venir à la maison ?

- Ouais, pourquoi pas ?

- Au fait, le dernier arrivé est une poule mouillée !

- Q-que quoi ?! Attend !

Et nous fîmes la course jusqu'à sa maison.

Étant donné qu'il fait de l'athlétisme depuis tout petit, il m'avait tracé, et de loin...

- Bah alors...? Ma petite poule mouillée ? Ça va pas ?

- J-je... Je veux une revanche aux jeux vidéos !

- Mouais... Ok. "

Nous allions donc jouer, après avoir pris de quoi manger notre goûter, rien de mieux que de bons petits princes...

Nous étions assis sur le sol nos dos appuyés sur le canapé.

Je gagnai les trois premières parties.

- Ouais ! Boom ! Dans tes dents !

-...

- Bah alors...? On boude ? Tu f-

Je sentis un poids sur mes cuisses, avant de relever la tête et de voir son visage, un peu trop près à mon goût...

-Qu-qu'est ce que t-tu fais...?!

- Je...

Nous nous regardons pendant plus de 10 minutes, mais nos regards descendaient quelques fois plus bas...

- Je suis désolé... Je-

Il commencait à se relever, mais je le stoppe en agrippant ses cuisses, nous donnant des frissons, quand nos bassins se rencontrèrent.