𝒞 ᵃᵘᵈᵃᶜⁱᵉᵘˣ

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Hello, avant de commencer :

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ʲ'ᵃⁱ ᵇⁱᵉⁿ ᵛᵘ ᵠᵘᵉ ᶜ'ᵉˢᵗ ᶜ̧ᵃ ᵠᵘᵉ ᵛᵒᵘˢ ᵃⁱᵐᵉᶻ 👍

Pour les âmes sensibles, on se voit au prochain chapitre.

Bonne lecture ~



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C'est la Saint-Valentin...

En ce beau 14 février, je me rend au lycée.

Je suis en terminale, et depuis la primaire, j'aime la même personne.
On a été dans la même école, le même collège et le même lycée, d'ailleurs cette année je suis dans sa classe.

Cette personne est gentille, drôle, populaire, belle, forte, intelligente, mais, il y a, malheureusement un petit problème...

C'est un garçon...

Il y a pratiquement aucune chance, qu'il puisse m'aimer...

Alors depuis que je le sais, j'essaie d'arrêter, mais, dieu sait à quel point c'est dur d'abandonner ses sentiments...

Je n'y arrive donc pas, ce qui empire la situation, car à chaque fois que je le vois, mes sentiments grandissent, quand nos regards se croisent il me sourit ce qui me donne de nombreux frissons dans tous le corps...

On s'est déjà parlé plusieurs fois, étant dans la même classe, pour quelques travaux en groupe.

Sauf que, pour cette fête de février, j'ai fait une erreur, la plus grosse erreur...

Pour ce 14 février, j'avais décidé de lui avouer mes sentiments...

J'ai donc écrit une lettre d'amour, une jolie lettre dans une jolie enveloppe verte, décoré d'un ruban turquoise.

Je l'avais soigneusement mis sur sa table, lorsque j'étais rentré en classe, m'assurant qu'il n'était pas encore là.

Je m'assis alors vite à ma place, regardant dans sa direction pour y voir une quelconque réaction.

Il faisait parti de l'équipe de basket, il était d'ailleurs très populaire, les lettres d'amour remplissant son casier tous les ans.

Lorsqu'il arriva, je détourna le regard, malgré mes petits coup d'œil curieux.

Je le vis s'installer, voyant cette enveloppe, il l'a mis dans un cahier puis dans son sac.

Ses yeux parcourent la classe à la recherche, je pense, de la personne qui lui avait posé ce bout de papier enveloppé.

Ne m'apercevant pas que je le fixais, je le regardais avec passion et amour.

Lorsque nos regards se croisèrent, je devins rouge de gêne, et détourna le regard au plus vite.
Mais c'était trop tard...

Le professeur arriva, nous devions donc nous asseoir, et attendre la sonnerie signalant la pause du matin.

Le cours me paraissait long...

Très long...

Mais la sonnerie sonna, nous libérant de cette souffrance.

Je me précipita dehors, marchant le plus vite possible, évitant de me faire remarquer par celui qui fait battre mon cœur...

Je m'installais sur l'un des bancs de la cour, laissant tomber ma tête en arrière, mes yeux s'ouvrant sur les belles feuilles de l'arbre au dessus de moi, malgré ce mois de février.

Le Désir Est Naturel ~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant