• 𝐏𝐫𝐨𝐥𝐨𝐠𝐮𝐞 •

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Point de vue de Mara ( Il y a 10 ans ) :



Les cris de ma mère et mon père résonnent dans mes oreilles comme un éco et voilà, une autre bombe qui pénètre dans le salon et je me fût projeter contre la table basse, mon corp s'étale au sol, faible et essoufflé, peureuse et terrifié.

Alors je cri, a en perdre l'haleine, je m'arrache les cordes vocales car j'ai mal.

Avec le peu de force qu'il me reste, je me relève et silence, j'entends seulement des pas, des voix d'hommes mais je n'entend pas mes parents, alors, je cris leur noms espérant qu'il m'entendes mais rien, je n'entends plus leurs cris.
Et puis, j'examine mon bras, une longue coupure se voit sur celle ci et le sang coule. Mes larmes dévalent mes joues déjà mouiller a cause de la douleur.

Et puis, tout est partit tellement vite, notre porte d'entré qui tombe au sol sous un grand bruit.

Je ne bouge pas, tétanisée, je fixe ces hommes tous cagoulé, sauf...un.

Il est grand, est blond et a les yeux bleu persan.

Je les fixe tous puis il dit d'une voix rauque.

- Tâchez d'accomplir votre mission. 

Face a ces dires, plusieurs hommes se déplacent vers les escaliers et montent a l'étage tous armé jusqu'au dents, ayant seulement 9 ans, la seul chose que je suis capable de faire est de pleurer, alors, je fond en larmes en tombant parterre.

Mes mains tremble, j-je ne peux pas les laisser faire du mal a papa et maman.

Toujours avec ses hommes derrière lui, il s'approche de moi, pendant que je recule, toujours parterre, terrifié.

- Qu'est ce qu'il y a ma petite. 
Il sourit, d'un sourire que je n'oublierais jamais de toute ma vie.

- Vo-vous allez faire mal a papa et maman.  Dit je en pleure.

- Qui, moi ? Non, je te promet que je ne ferais aucun mal a t'est parents, j'ai juste quelques chose a les offrir, un cadeau.

Mes yeux surement rougis par mes larmes se lèvent en direction de cette homme qui prétend ne faire aucun mal a mes parents. 

Et comme une conne, j'y est cru !

- Promis ?  Dit je d'une petite voix si innocente.

- Je te le promet... comment tu t'appel ?

- Papa ma dit de ne jamais dire mon prénom au inconnu.

- Mais moi, je suis un ami de ton papa.  Dit il en souriant.

Je réfléchis un instant et dit :

- Mara, et vous ?

- Je suis le frère de Spider Man.

- Quoi ?! et il est où Spider Man ?  Dit je en souriant.

- Il arrive bientôt mais, j'ai un cadeau pour toi aussi, tu me suis ?

Ma petite tête se baissent vers sa grande main qu'il me tend, alors je là prend, hésitante et il m'emmène en marchant lentement vers le jardin où il ferme la véranda, il se tourne vers moi et sort de sa poche arrière une lame.

Une lame que je n'est jamais vue de toute ma vie, elle est petite qu'il arrive a la tenir seulement avec son index.

La lame est magnifique, tellement magnifique que toute ma concentration et de su.
Il y a comme un diamant en rouge qui entoure le milieu de la lame. Elle avait l'aire tranchante et lisse en même temps. Cette lame qui était tellement limé qui sa brillance refléter mon visage et celui de cette homme comme reflet.

Il me la tend alors je la prend d'une main hésitante, puis il s'accroupis a mon niveau et me dit :

- Tient là, seulement avec ton index...

Je fais se qu'il dit est essayent de me concentrer.

- Concentre toi sur cette lame, il ne faut pas qu'elle penche d'un côté et après, on pourra voir Spider Man.

Alors j'essaye de la tenir mais un coup de feu retentit...suivis d'un autre, j'essaye de me retourner mais le torse de cette homme m'en empêche.

- Concentre toi sur cette lame, sinon, Spider Man ne vas jamais venir.

Face a ces dires je me remet a ma place initiale et donne toute ma concentration jusqu'à que la lame devient stable.

- J'ai réussis !? Je peux voir Spider Man maintenant ?

- On vas aller le voir, vient.

Et puis, il me tends sa main que je prends et nous traversons la porte du jardin pour contourner la maison et arrive devant celle ci, il me fait entrer dans une belle et grande voiture noir aussi luxueuse, et il m'installe a l'intérieure, sur la banquette arrière, et lui s'assoit côté conducteur.

Le reste de ces hommes monte dans d'autres voitures, a l'arrière puis il démarre...


Mais j'aurais voulu a ce qu'il démarre jamais.

Papa, Maman, pardon, je vous aime...

𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant