Chapitre 7

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Après le dîner...

- Passe le salut au vieux.

Mes hommes quittent la maison d'Armando, mon majeur lever vers Issac et je me retourne a mon tour.

Il fait nuit, nuit noir, la lune et les petit lumière sur le gravier a l'entré de la villa nous éclaire le chemins, je suit mes hommes, devant moi. J'enjambe ma moto pendant que tout le monde grimpe dans son véhicule. Nous démarrons en même temps et quitte l'allé en gravier de la villa.

Le trajet était tranquille et j'ai u le temps de réfléchir sur ce que Armando prépare, il n'est pas du genre a laisser tomber comme ça, ça sent la douille.

Arrivé a l'aérodrome, nous descendons de nos véhicules pour rejoindre le jet privée. Je m'arrête net en sentant mon téléphone vibrer dans ma ceinture et remarque le numéro de Élisa, Putain !

- Qu'est ce qui ce passe ?

Mes mains tremble, deviennent moite et ma respiration se bloque en attendant ça réponse.

- J'ai besoin de toi. Dit elle faiblement, comme dans un murmure.

Je lève les yeux lentement vers mes hommes qui montent dans le jet. Je raccroche et monte a mon tour, quand tout le monde est installer sur son siège, je dit :

- Vous rentrez au manoir, je vais rendre visite a Élisa.

Je me force limite a sourire pour ne pas les soupçon.

- Pourquoi ? Me demande Daniel perplexe.

- Tu n'a pas besoin de savoir, personne me suit, j'y vais seul.


Arrivée au Portugal...

Nous descendons du jet un a un regagnons nos véhicule, ma moto est sensé arriver ici demain normalement. Je monte a l'arrière de la Mercedes de Loris. Il démarre et nous atteignons le manoir. Pendant tout le trajet, je n'avais qu'une envie, étrangler Loris avec ma ceinture parce que il roule beaucoup trop lentement en chantonnent des vielle musique Espagnol. Je descends la première, rentre dans le parking souterrain et prend les premières clés qui me passe sous la main : Lamborghini Urus. Bon, c'est sur que j'arriverais rapidement la bas. Je grimpe malgré ma petit taille coter conducteur et quitte l'allé comme une furie sous les regards interrogateur de mes hommes.

 Ils doivent seulement se demander où je vais a cette heure, plutôt normal leur réaction parce que il est déjà deux heures du matin, je pouvais retourner au manoir mais non, Elisa a besoin de moi et j'imagine seulement le pire.

A fond, sur l'autoroute, je décide de me détendre un peu et met le son de The Weeknd qui me détends a chaque fois que je veux péter un câble : I Was Never There. Quand j'écoute cette musique, je suis comme dans une bulle, capable de lire un roman avec ce son dans mes oreilles sans ce préoccuper de ce qui m'entoure. Ce genre de musique me plait vraiment, quand j'ai commencer a apprendre l'Anglais de manière approfondit dés mes 11 ans grâce a mon oncle, le premier son que je voulais absolument apprendre était du Ariana Grande et Rihanna, mon passe temps.

- What makes a grown man wanna cry ? What makes him wanna take his life ? Oh, oh His happiness is never real  And mindless sex is how he feels, ooh, he feels

Je m'installe confortablement et entame le refrain :

- When it's time, when it's time, when it's time It won't matter It won't matter When it's time, when it's time, when it's time It won't matter It won't matter

Le trajet ma l'aire court tellement que j'étais dans ma bulle, mon flingue chargé attacher a ma ceinture, je me gare sur une place de parking et sors du véhicule sous le regards de certains passant curieux. Sans plus attendre, je me dirige droit vers l'entrée de l'hôpital a grand pas. Personne est dans le hall d'entrée surement parce que l'heure des visites est terminer, seul le personnel et des infirmiers rode ici. Loiz m'arrête dans mon élan alors que je me dirigeais droit vers l'ascenseur.

𝐌 𝐀 𝐑 𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant