𝐌 𝐀 𝐑 𝐀

Chapitre 12

5 heures du matin et je regrette déjà de ne pas avoir prit mon petit déjeuner avant de sortir. Ma tête me fais affreusement mal, surement a cause de mes heures de sommeil assez courte. Il fait extrêmement froid aujourd'hui, donc au lieu de mettre ma combinaison de d'habitude, je suis habillé d'un large pull a capuche noir, un jogging noir ample et des chausson grosse de nounours au pieds. Je sais, ridicule mais il faut toujours privilégier le confort avant tout.

Comme prévus, je suis venue passer un coup d'œil au entrepôts. J'ai vérifier la 6, 7 et 12. Celle qui comporte principalement des armes a feux. Les bruits des caisses déplacer par mes employés remplit l'entrepôt 12. Je suis assise sur une chaise, presque en plein milieu de l'entrepôt ou se présente devant moi une table. Paul est a ma droite, Paul est comme un expert dans les armes a feux, donc quand je passe dans ces entrepôts précisément, il sait lui même qu'il doit être présent. Aujourd'hui, on reçois des armes venue de Syrie. On collabore avec différents continent mais ceux avec qui on collabore le plus est l'Amérique, l'Afrique ou l'Asie. Nombreux sont nos alliées qui vivent dans ces continent, donc c'est plus facile de vendre et acheter.

Mes doigts claque lentement contre le bois de la table :

- Dans 2 minutes si il se ramène pas, je me casse. Dit je les dents serrer par le froid.

- Les caisses sont arriver se matin, patiente un peu. Me dit Paul en soupirant. 

Ma tête capucher se tourne vers le portail de l'entrepôts qui vient de s'ouvrir. Environ 5 hommes porte chacun d'eux deux caisses dans les bras. Elles ont l'aire lourde, ils les pose tous sur la table et j'en profite pour me lever et il reparte tous après m'avoir saluer en baissant la tête.

Je frotte mes mains entre elles et ouvre la première qui s'offre a moi. Elle est constituer de Barett m82 et je pense qu'elle les sont toutes.

- Il y a que des Barret m82 ?

- Oe, les AK-K7 arrive dans une semaine.

- Combien ?

- 3456.

- Hum

Je dépose le couvercle a coter prend une Barett et l'inspecte minutieusement, elle est lourde mais c'est l'une des armes a feux qu'on utilise le plus. Celle là est primordiale pour chacune de nos mission ou prise d'assaut. Ce qui est bien avec cette arme c'est qu'on peut viser a des centaine de kilomètre et atteindre sa victime, principalement en hauteur comme sur un toit ou un hélicoptère. J'ouvre toutes les caisses et il n'y a que des Barett, on en avait plus en stock donc parfait. 

Je contourne la table et valide la composition des caisses, Paul appel les hommes qui était venue les déposés et ils s'en vont avec les caisses. Un soupir m'échappe, putain ! je suis vraiment fatigué pour le coup. Une remonter acide dans ma gorge fit arrêter mon souffle.

- On rentre.

- Tu vas bien ?

- J'ai envie de vomir. Dit je en tenant mon ventre. 

Nous sortons de l'entrepôt et il prit le volant coter conducteur a bord de la Mercedes et je m'assois a coter de lui. Il accélère et me jette des coup de d'œil.

- Règle ?

- Non ! Je les ai déjà u ce mois, Paul.

Je vois bien qu'il est stresser comme si j'allais accoucher, cette situation aurais pus me faire rire si mon ventre me fessais pas souffrir le martyre.

- Ok ok, on respire, tout vas bien ce passer... Dit il en souriant, le souffle court.

- Ce n'est pas pour niquer ton délire mais aucune saucisse n'est entrer en moi pour le moment.